« S’il y a exclusion, nous allons encore nous diviser et ce n’est pas bien », dixit le président du CDP, Eddie Komboïgo.

L’humilité précède toujours la gloire. Cependant, l’orgueil ne prépare que la chute, dit-on. Mes chers tambourineurs du régime impopulaire et anti-démocratique de Blaise Compaoré n’ont pas encore retenu cette leçon. Vous demander à ce que le pardon vous soit présenté car le peuple vous aurait offensés. Quel honte ! L’exclusion, le clientélisme, le chantage et les intimidations de tous ordres ont atteint leur apogée sous le règne de votre roitelet que le peuple réel du Faso a débarqué les 30 et 31 octobre 2014. Répentez-vous mes frères et évitez de verser de l’huile sur la flamme que nous travailler à éteindre. Que Dieux bénisse le BURKINA FASO.