Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Grève de 48 heures du SYNAFI pour le Fonds commun : Suivie à plus de 97% selon les organisateurs
22 août 2015, 19:56, par
FC
Dans tout ministère, il y a spécialisation des tâches. Pour comprendre ce qui se passe au ministère des finances, prenons l’exemple de l’hôpital yalgado et des hôpitaux en général, où il y a des ristournes qui sont distribuées périodiquement à l’ensemble du personnel. Est-il donc possible que dans un hôpital qui se respecte, la ristourne reversée à un infirmier d’une spécialité donnée soit supérieure à celle octrôyée à un medecin ou professeur d’une autre spécialité ? C’est exactement ce qui se passe au ministère des finances et que dénonce le SINAFI. Les tentatives de justifications de cette gestion irrationnelle des ressources humaines ne tiendront pas longtemps. Cela n’est pas possible et les autorités doivent se pencher sérieusement sur la question pour ramener le calme dans ce ministère. Soit dit en passant, FC, ristournes et statuts particuliers existent à profusion dans ce pays et les financiers de par leur position professionnelle savent qu’ils sont loin d’être les mieux lotis de l’administration publique burkinabè. Alors, que chacun lutte pour améliorer sa situation au lieu de condamner sans chercher à comprendre les fondements de la lutte du sinafi.
Dans tout ministère, il y a spécialisation des tâches. Pour comprendre ce qui se passe au ministère des finances, prenons l’exemple de l’hôpital yalgado et des hôpitaux en général, où il y a des ristournes qui sont distribuées périodiquement à l’ensemble du personnel. Est-il donc possible que dans un hôpital qui se respecte, la ristourne reversée à un infirmier d’une spécialité donnée soit supérieure à celle octrôyée à un medecin ou professeur d’une autre spécialité ? C’est exactement ce qui se passe au ministère des finances et que dénonce le SINAFI. Les tentatives de justifications de cette gestion irrationnelle des ressources humaines ne tiendront pas longtemps. Cela n’est pas possible et les autorités doivent se pencher sérieusement sur la question pour ramener le calme dans ce ministère. Soit dit en passant, FC, ristournes et statuts particuliers existent à profusion dans ce pays et les financiers de par leur position professionnelle savent qu’ils sont loin d’être les mieux lotis de l’administration publique burkinabè. Alors, que chacun lutte pour améliorer sa situation au lieu de condamner sans chercher à comprendre les fondements de la lutte du sinafi.