« Si tout le monde peut être militant au CDP, à l’UNIR/PS cela relève d’un mérite », déclare le président de la FEDES, Issaka Ouédraogo
21 août 2015, 16:33, par
DEB
J’ai très honte pour ces jeunes qui frémissent devant de l’argent au détriement de leur avenir. Pendant 27 ans qu’est ce que le CDP a réalisé de bon pour l’avenir de la jeunesse du Faso si ce n’est pas les rendre mendiants et piteux intellectuellement pour pouvoir les dominer à vie ? Jeunes du Faso, réveillez vous car il sera trop tard pour ton avenir.
Quand j’étais étudiant à l’université de Zogona (UO) de 1987 à 1991, aucun étudiant ne se comportait aussi honteusement comme aujourd’hui pour de l’argent volé par des politiciens véreux. Du reste, ce n’est pas pour rien que des étudiants tel Boukary DABO a été exécuté en 1989 pour sauvegarde son honneur et sa dignité car futur intellectuel du Burkina de demain qu’il était ne pouvait être complice de la "caporalisation" de la jeunesse estudiantine du Faso. Aujourd’hui, de tels étudiants sont quasi inexistants sur nos campus universitaires. J’ai vraiment mal, "j’ai très mal et ça me fait honte" comme dirait un chanteur.
J’ai très honte pour ces jeunes qui frémissent devant de l’argent au détriement de leur avenir. Pendant 27 ans qu’est ce que le CDP a réalisé de bon pour l’avenir de la jeunesse du Faso si ce n’est pas les rendre mendiants et piteux intellectuellement pour pouvoir les dominer à vie ? Jeunes du Faso, réveillez vous car il sera trop tard pour ton avenir.
Quand j’étais étudiant à l’université de Zogona (UO) de 1987 à 1991, aucun étudiant ne se comportait aussi honteusement comme aujourd’hui pour de l’argent volé par des politiciens véreux. Du reste, ce n’est pas pour rien que des étudiants tel Boukary DABO a été exécuté en 1989 pour sauvegarde son honneur et sa dignité car futur intellectuel du Burkina de demain qu’il était ne pouvait être complice de la "caporalisation" de la jeunesse estudiantine du Faso. Aujourd’hui, de tels étudiants sont quasi inexistants sur nos campus universitaires. J’ai vraiment mal, "j’ai très mal et ça me fait honte" comme dirait un chanteur.