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Situation nationale : le CNTR demande un audit de l’ex-ministère d’Auguste Denise Barry

24 juillet 2015, 17:57, par Ouedraogo Emmanuel

Je pense que le peuple burkinabé doit faire preuve de vigilance et de dignité ; et c’est qui est entrain de se passer. L’audit de l’ex-ministre BARRY est une évidence dans la mesure où lui il pensait qu’il est "propre". C’est triste qu’il produit de l’ex-pouvoir de Blaise Compaoré se soit comporté ainsi. En fait, tu ne peux être du RSP au temps de Blaise et dire que tu n’est pas impliqué dans les assassinats et crimes commis par ce régime. Mais hélas Barry a fait semblant d’oublier d’où il venait et veut se comporter comme un "homme libre et propre". A mon avis comme l’a si bien dit certains "la vengeance, la méchanceté, la jalousie et l’orgueil" ne font pas de l’homme un homme, cela te conduit à l’échec. Est-ce que Barry pouvais penser qu’on allait le limoger avant la fin de la transition ? Non. Il se croyait le Dieu du Gouvernement, c’est lui qui met l’ordre.

D’autre part, ce n’est pas à Chérif et son équipe de dire tel ou tel candidat est apte à se présenter ou pas. C’est le peuple qui désignera son candidat à l’issue du scrutin électoral. De grâce qu’ils arrêtent de se prendre pour des incontournables ; car lui et son équipe n’ont battu aucune campagne ou passer aucun test pour être là ils sont, c’est juste une question de destin. Donc il ne faut pas qu’ils croient qu’ils méritent leurs postes, pas du tout. La question de chasse au sorciers doit être exhaustive et se diriger vers certaine de personne. S’ils veulent faire la justice qu’il arrête tous ceux qui commis des malversations durant les 27 ans du pouvoir de Blaise. De passage si nous sommes arrivés à cette d’aujourd’hui, c’est qu’il y a des gens ont favorisé le changement de la constitution 2 fois de suite. Donc de grâce soyons humbles et sagesse, au Burkina Faso nous avons vu tout le monde évolué et cela grâce au pouvoir de Blaise. C’est ingrats de la part de ces personnes de se comporter ainsi à l’égard de ce dernier et du peuple burkinabé. Jouons bal à terre et prions le Bon Dieu de nos guider.