Situation nationale : L’UNIR/PS « s’opposera à toute velléité de changement du Premier Ministre ou de quelque membre que ce soit… »
13 juillet 2015, 17:31, par
article 37
Le premier Ministre restera à son poste jusqu’à la fin de la transition. Aucun RSP n’empêchera cette transition parce que tout ceux qui ont participé directement ou indirectement aux événement du 15 octobre, de septembre 89, de l’assassinat de Norbert ZONGO, Flavien NEBIE, le Juge NEBIER, Dabo Boukary, Oumarou Clément, aucun des personnes impliquées ne sera épargnées par le rouleau compresseur de la justice.
Gilbert peut désormais penser à sortir toute la soldatesque pour nous empêcher par la force de manifester, mais il sera responsable devant l’histoire et devant les juridictions internationales. je souhaiterais que nous puissions donner une réponse dynamique du berger à la bergère.
Nous n’allons jamais laisser voler l’esprit de cette insurrection par quelques soldats acquis à la cause de Blaise COMPAORE, ni aujourd’hui, ni demain. Les Burkinabè ont pris leur destin entre leurs main et que cela retentisse dans l’esprit de ceux à qui on a remis le mandat d’assurer la sécurité de chaque citoyen quelque soit son origine, et son courant de pensée.
Le premier Ministre restera à son poste jusqu’à la fin de la transition. Aucun RSP n’empêchera cette transition parce que tout ceux qui ont participé directement ou indirectement aux événement du 15 octobre, de septembre 89, de l’assassinat de Norbert ZONGO, Flavien NEBIE, le Juge NEBIER, Dabo Boukary, Oumarou Clément, aucun des personnes impliquées ne sera épargnées par le rouleau compresseur de la justice.
Gilbert peut désormais penser à sortir toute la soldatesque pour nous empêcher par la force de manifester, mais il sera responsable devant l’histoire et devant les juridictions internationales. je souhaiterais que nous puissions donner une réponse dynamique du berger à la bergère.
Nous n’allons jamais laisser voler l’esprit de cette insurrection par quelques soldats acquis à la cause de Blaise COMPAORE, ni aujourd’hui, ni demain. Les Burkinabè ont pris leur destin entre leurs main et que cela retentisse dans l’esprit de ceux à qui on a remis le mandat d’assurer la sécurité de chaque citoyen quelque soit son origine, et son courant de pensée.