« Une plume pour le développement » de la Banque mondiale : Samiratou Zinaba dite Patinda se fait l’avocate de la jeunesse
9 juillet 2015, 09:29, par
Sou Edwige Marie Aimé
Bonjour Melle Zinaba,
Toutes mes vives félicitations !
Comme le dit le proverbe burkinabé : "on ne coiffe pas quelqu’un à son absence". L’exemple de ce bel exercice initié par la Banque Mondiale et au vu des résultats, démontre qu’en impliquant effectivement et de façon active les jeunes dans toutes les instances directives de notre beau pays, nous allons récolter des résultats palpables, riches et durables pour le développement socio-économique du pays.
Bravo à tous les jeunes qui ont pris part à ce jeu-concours. Encore bravo et bon courage à vous Melle Zinaba !
Cordialement !
Edwige Marie Aimée Sou
Consultante en Tourisme, Voyages et Loisirs
Bonjour Melle Zinaba,
Toutes mes vives félicitations !
Comme le dit le proverbe burkinabé : "on ne coiffe pas quelqu’un à son absence". L’exemple de ce bel exercice initié par la Banque Mondiale et au vu des résultats, démontre qu’en impliquant effectivement et de façon active les jeunes dans toutes les instances directives de notre beau pays, nous allons récolter des résultats palpables, riches et durables pour le développement socio-économique du pays.
Bravo à tous les jeunes qui ont pris part à ce jeu-concours. Encore bravo et bon courage à vous Melle Zinaba !
Cordialement !
Edwige Marie Aimée Sou
Consultante en Tourisme, Voyages et Loisirs