Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
(. . .)Aujourd’hui, je vis un jour malheureux.
Loin de mes personnes chéries,
Je pense à la terre de mes aïeux,.
Couché malgré moi sur cette colline.
Ici, c’est le calme, la sérénité, l’atmosphère divine.
Je sens la fraîcheur "scandinave" m’envahir le corps,
A peine si je peux bouger mes membres, ils sont faits d’acier.
Moi, l’enseigne de vaisseau, j’ai sommeil jusqu’aux pieds.
Dans mon inertie, main sur ma poitrine rougie, j’admire de naturel décor.
Tout est si beau, si doux, les sentiers, les ruisseaux,
Les eaux que les rochers distillent aux prairies,
Et la rosée en perle attachée aux rameaux !
Heureux les chers oiseaux qui chantent leurs chansons !
Ces deux troues sur la poitrine me rongent le cœur.
Hommes, femmes, enfants, me trouveront dans ce sommeil profond,
Duquel je ne me réveillerai jamais pour recevoir les honneurs,
Loin du pays natal, je vis mes derniers instants,
Le destin commun me fait l’œil dans ces prés murmurants,
Mère, je meurs dans le bercement de ces vents doux, loin du tien si relaxant (. . .)
puisse leurs âmes reposer en paix
(. . .)Aujourd’hui, je vis un jour malheureux.
Loin de mes personnes chéries,
Je pense à la terre de mes aïeux,.
Couché malgré moi sur cette colline.
Ici, c’est le calme, la sérénité, l’atmosphère divine.
Je sens la fraîcheur "scandinave" m’envahir le corps,
A peine si je peux bouger mes membres, ils sont faits d’acier.
Moi, l’enseigne de vaisseau, j’ai sommeil jusqu’aux pieds.
Dans mon inertie, main sur ma poitrine rougie, j’admire de naturel décor.
Tout est si beau, si doux, les sentiers, les ruisseaux,
Les eaux que les rochers distillent aux prairies,
Et la rosée en perle attachée aux rameaux !
Heureux les chers oiseaux qui chantent leurs chansons !
Ces deux troues sur la poitrine me rongent le cœur.
Hommes, femmes, enfants, me trouveront dans ce sommeil profond,
Duquel je ne me réveillerai jamais pour recevoir les honneurs,
Loin du pays natal, je vis mes derniers instants,
Le destin commun me fait l’œil dans ces prés murmurants,
Mère, je meurs dans le bercement de ces vents doux, loin du tien si relaxant (. . .)
puisse leurs âmes reposer en paix