Finalement, je pense n’avoir pas eu tort de demeurer un Sankariste par conviction et dans le comportement, au mieux que j’arrive à l’être, sans aucune attache avec un soit-disant parti sankariste ou avec quelque association sankariste de la place. J’imagine l’amertume du président Thomas Sankara dans sa tombe, au regard de ces déchirements internes quelque peu puérils qu’il nous ai donné de constater ces temps-ci au sein des Sankaristes et de surcroit sur la place publique. Ils ne font preuve de la moindre capacité à dialoguer et à gérer leurs problèmes à l’interne. Et dire que les nombreux Sankaristes comme moi, tapis dans l’ombre et qui vivent leur Sankarisme au plus profond de leur âme, se disaient avoir enfin trouvé un climat propice pour rejoindre le grand groupe ! Dommage, dommage dommage, vous nous faites honte ! Aucun de vous ne sortira la tête haute tant que vous ne vous mettrez pas ensemble pour le combat. Je comprends à présent la thèse que défendait toujours un de mes amis : Pas facile de trouver dans ce pays un autre Sankara. C’est une question d’homme et pas seulement d’idéologie. Pauvres de nous !
Finalement, je pense n’avoir pas eu tort de demeurer un Sankariste par conviction et dans le comportement, au mieux que j’arrive à l’être, sans aucune attache avec un soit-disant parti sankariste ou avec quelque association sankariste de la place. J’imagine l’amertume du président Thomas Sankara dans sa tombe, au regard de ces déchirements internes quelque peu puérils qu’il nous ai donné de constater ces temps-ci au sein des Sankaristes et de surcroit sur la place publique. Ils ne font preuve de la moindre capacité à dialoguer et à gérer leurs problèmes à l’interne. Et dire que les nombreux Sankaristes comme moi, tapis dans l’ombre et qui vivent leur Sankarisme au plus profond de leur âme, se disaient avoir enfin trouvé un climat propice pour rejoindre le grand groupe ! Dommage, dommage dommage, vous nous faites honte ! Aucun de vous ne sortira la tête haute tant que vous ne vous mettrez pas ensemble pour le combat. Je comprends à présent la thèse que défendait toujours un de mes amis : Pas facile de trouver dans ce pays un autre Sankara. C’est une question d’homme et pas seulement d’idéologie. Pauvres de nous !