Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dans ce contexte, pourquoi aller à des élection ? Que les miltitants du MPP soutenus par autres renégats aillent tout de suite occuper Kossyam. Au lieu de faire dépenser des milliards pour rien, Yamba et ses militants n’ont qu’à amener Rock avec leurs armes demain matin et on verra si le Burkina c’est Ouaga. Imaginez des manifestations qui bloquent les voies d’accès aux pays voisins. Ouaga est où. En plus c’est d’autres qui se réclament du plateau central et de l’islam. Des connards qui n’ont rien dans la tête. Comme disait feu Norbert Zongo "des montagnes de muscles au service d’un crâne aussi vide qu’un entonnoir." Des gens qui ont vite oublié qu’hier seulement ils portaient des caleçons troués en dessous de ventres gonflés par le binga et le baabenda. Aujourd’hui ils ont gouté au champagne et au Beaujolais nouveau, ils se prennent pour des illuminés dont le destin est de gouverner les autres sans pouvoir se gouverner eux mêmes pour paraphraser l’intellectuel Laurent Bado.
Dans ce contexte, pourquoi aller à des élection ? Que les miltitants du MPP soutenus par autres renégats aillent tout de suite occuper Kossyam. Au lieu de faire dépenser des milliards pour rien, Yamba et ses militants n’ont qu’à amener Rock avec leurs armes demain matin et on verra si le Burkina c’est Ouaga. Imaginez des manifestations qui bloquent les voies d’accès aux pays voisins. Ouaga est où. En plus c’est d’autres qui se réclament du plateau central et de l’islam. Des connards qui n’ont rien dans la tête. Comme disait feu Norbert Zongo "des montagnes de muscles au service d’un crâne aussi vide qu’un entonnoir." Des gens qui ont vite oublié qu’hier seulement ils portaient des caleçons troués en dessous de ventres gonflés par le binga et le baabenda. Aujourd’hui ils ont gouté au champagne et au Beaujolais nouveau, ils se prennent pour des illuminés dont le destin est de gouverner les autres sans pouvoir se gouverner eux mêmes pour paraphraser l’intellectuel Laurent Bado.