Mévente et risque de disparition de la SN SOSUCO : Des chefs de villages interpellent Michel Kafando et son gouvernement
9 juin 2015, 07:48, par
waug
Tant que nous aurons peurs de la conséquence nous en ferons ses frais ! nous sommes dans une mondialisation de l’économie et il faut qu’on face forcement avec. Le problème principale qui fait que le sucré Burkinabé ne s’achète pas c’est qu’il est plus chère. Qu’est ce qui fait que notre sucre est plus chère ? Qu’est ce qui fait que notre cout de revient du sucre est très élevés ? comment pouvons nous trouver une solution a ce que le cout de production diminue ? quelle ajustement faire ? est ce que la SOSUCO ne peut pas initier d’autres activités qui vont générer d’autres profit qui permettrons de réduire le cout de production du sucre je pense notamment à la production d’électricité à partir des résidus de cannes pour toute ou une partie de Banfora puisque la SONABEL a des problème pour couvrir le pays ? alors les résidus de cannes sont mieux valoriser et contribue a réduire encore le cout de revient du sucre.
Tant que nous aurons peurs de la conséquence nous en ferons ses frais ! nous sommes dans une mondialisation de l’économie et il faut qu’on face forcement avec. Le problème principale qui fait que le sucré Burkinabé ne s’achète pas c’est qu’il est plus chère. Qu’est ce qui fait que notre sucre est plus chère ? Qu’est ce qui fait que notre cout de revient du sucre est très élevés ? comment pouvons nous trouver une solution a ce que le cout de production diminue ? quelle ajustement faire ? est ce que la SOSUCO ne peut pas initier d’autres activités qui vont générer d’autres profit qui permettrons de réduire le cout de production du sucre je pense notamment à la production d’électricité à partir des résidus de cannes pour toute ou une partie de Banfora puisque la SONABEL a des problème pour couvrir le pays ? alors les résidus de cannes sont mieux valoriser et contribue a réduire encore le cout de revient du sucre.