Fédération des Associations Islamiques du Burkina : La section Ouest interpelle les responsables nationaux sur des faits peu islamiques
11 mai 2015, 08:01, par
sidpawalimdé
« O vous qui croyez ! Obéissez au Prophète( SAW) et à ceux d’ entre vous qui détiennent l’autorité. » ( Qur ‘an, 4 :58). Tout comme l’islam a rendu l’obéissance à la direction obligatoire tant qu’elle est juste, de la même manière il abolit cette obligation de l’individu, ou plutôt, il oblige à désobéir si la Direction est tout à fait le contraire de ce qu’elle dot être ; dans un de ses hadith rapporté par Bukhari et Muslim ,le Prophète(SAW) a dit « le musulman doit écouter et obéir en tout qu’il aime ou n’aime pas, sauf s’il lui est ordonné de commettre un péché. Dans ce cas, il n’est pas question d’écouter et obéir.
La question du non respect des textes de la FAIB (charte et règlement intérieur) sonnent comme une transgression d’une des injonctions islamiques qui « interdit toute espèce de monopole dans quelques domaines qui soit » pour éviter aux hommes de se croire indispensables ou irremplaçables. c’est l’esprit de cette injonction qui transparait dans l’alternance constitutionnalisée par limitation des mandats au Burkina Faso et recommandée par les organisations internationales.
« O vous qui croyez ! Obéissez au Prophète( SAW) et à ceux d’ entre vous qui détiennent l’autorité. » ( Qur ‘an, 4 :58). Tout comme l’islam a rendu l’obéissance à la direction obligatoire tant qu’elle est juste, de la même manière il abolit cette obligation de l’individu, ou plutôt, il oblige à désobéir si la Direction est tout à fait le contraire de ce qu’elle dot être ; dans un de ses hadith rapporté par Bukhari et Muslim ,le Prophète(SAW) a dit « le musulman doit écouter et obéir en tout qu’il aime ou n’aime pas, sauf s’il lui est ordonné de commettre un péché. Dans ce cas, il n’est pas question d’écouter et obéir.
La question du non respect des textes de la FAIB (charte et règlement intérieur) sonnent comme une transgression d’une des injonctions islamiques qui « interdit toute espèce de monopole dans quelques domaines qui soit » pour éviter aux hommes de se croire indispensables ou irremplaçables. c’est l’esprit de cette injonction qui transparait dans l’alternance constitutionnalisée par limitation des mandats au Burkina Faso et recommandée par les organisations internationales.