Justice : Le Syndicat Autonome des Magistrats Burkinabè exige que la lumière soit faite dans l’affaire Salifou Nébié
27 avril 2015, 22:28, par
GNALBROOK
Merci pour cette prise de position. Nous sommes dans une situation grave de respect de droit au Burkina. Plus grave au Burkina Faso c’est la violation de la constitution par le conseil constitutionnel, non seulement par le problème de la nomination incorrecte de certains de ses membres en conseil des ministres mais aussi et surtout la nomination de son président qui viole de manière fragrante l’article 153 de la constitution. C’est curieux que l’ex-chef de file de l’opposition Zéphirin Diabré dans son interview accordée à BBC Afrique le 19 Avril ignorait cette violation de la constitution. C’est très grave pr un leader emblématique de l’opposition burkinabè. C’est dommage car cela discrédite l’autorité du président du conseil constitutionnel. Qu’est-ce qui nous reste à faire ? faut-il une deuxième transition ? faut-il un nième régime d’exception pour nous conduire à quoi ?
Merci pour cette prise de position. Nous sommes dans une situation grave de respect de droit au Burkina. Plus grave au Burkina Faso c’est la violation de la constitution par le conseil constitutionnel, non seulement par le problème de la nomination incorrecte de certains de ses membres en conseil des ministres mais aussi et surtout la nomination de son président qui viole de manière fragrante l’article 153 de la constitution. C’est curieux que l’ex-chef de file de l’opposition Zéphirin Diabré dans son interview accordée à BBC Afrique le 19 Avril ignorait cette violation de la constitution. C’est très grave pr un leader emblématique de l’opposition burkinabè. C’est dommage car cela discrédite l’autorité du président du conseil constitutionnel. Qu’est-ce qui nous reste à faire ? faut-il une deuxième transition ? faut-il un nième régime d’exception pour nous conduire à quoi ?