Lutte contre l’insécurité : Le hiatus préjudiciable entre l’appareil judiciaire et les forces de sécurité
24 avril 2015, 09:40, par
Kinibè SOME
Je suis d’accord avec l’internaute n°10. Dans ce problème il faut éviter d’avoir une position tranchée. Les OPJ et la justice travaillent tous pour la sécurité des personnes et des biens. Face à des incompréhensions de ce genre, je pense que le dialogue entre la justice et les OPJ devra être la voie royale pour la résolution de ce problème. Rien n’empêche en effet le Procureur ou son substitut qui estime qu’au regard du P.V de gendarmerie ou de la police qui lui est présenté, il n’y a pas lieu à poursuites, de saisir la structure concernée (police ou gendarmerie) pour discuter avec elle ou l’informer préalablement avant de prendre sa décision. Cela ne fera que renforcer les lieux entre les OPJ et la justice et facilitera leurs relations de collaboration pour la même cause. Il appartient au Ministère de la justice et à celui de la sécurité de créer ce cadre de dialogue et de le pérenniser. Tout le monde y gagne.
Je suis d’accord avec l’internaute n°10. Dans ce problème il faut éviter d’avoir une position tranchée. Les OPJ et la justice travaillent tous pour la sécurité des personnes et des biens. Face à des incompréhensions de ce genre, je pense que le dialogue entre la justice et les OPJ devra être la voie royale pour la résolution de ce problème. Rien n’empêche en effet le Procureur ou son substitut qui estime qu’au regard du P.V de gendarmerie ou de la police qui lui est présenté, il n’y a pas lieu à poursuites, de saisir la structure concernée (police ou gendarmerie) pour discuter avec elle ou l’informer préalablement avant de prendre sa décision. Cela ne fera que renforcer les lieux entre les OPJ et la justice et facilitera leurs relations de collaboration pour la même cause. Il appartient au Ministère de la justice et à celui de la sécurité de créer ce cadre de dialogue et de le pérenniser. Tout le monde y gagne.