Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise à l’UNPCB : des producteurs de coton se démarquent de la menace de boycott brandie par les frondeurs
22 avril 2015, 15:32, par
Un patriote africain
Mieux qu’un simple boycott, je pense qu’en ne faisant plus de la cotonculture de servitude, mais celle qui sert le peuple, nous gagnons tous ; Nous devons dorénavant produire du coton pour notre propre consommation, et cela est PLUS QU’UNE NECESSITE ;
Ceux qui croient que la culture du coton est ce qui permet au monde paysan de s’acheter des motos, de se construire des maisons coiffées de tôles, de prétendent-il, s’offrir un certain bien être, je voudrais les rassurer très HUMBLEMENT que le prix qu’il paie le monde paysan pour ces broutilles qu’ils voient, n’est que de la SERVITUDE. Car, la france (métropole) n’a pas instituer la culture du coton qu’elle soutient jusqu’alors pour que les cotonculteurs y connaissent un certain bien être, en tout cas pas dans le contexte des échanges actuels et des règles actuels du jeu.
Oui, Thomas Sankara l’avait bien présenté et mis en valeur, ce coton burkinabé qui doit servir à HABILLER les burkinabé, les africains et nous le pouvons ! ! !
Lançons nous ce défis d’habiller les africains avec les produits de leur agricultures, de les nourrir avec les produits de leur agriculture, de les soigner avec les produits de leur nature ! ! !
Tels sont les vrais défis que nous devrions nous lancer et de relever car DAME NATURE NOUS A DOTER DE TOUS CE QU’IL FAUT POUR NOTRE MIEUX ÊTRE, MAIS NOUS LES LAISSONS SPOLIER PAR L’OCCIDENT.
Mieux qu’un simple boycott, je pense qu’en ne faisant plus de la cotonculture de servitude, mais celle qui sert le peuple, nous gagnons tous ; Nous devons dorénavant produire du coton pour notre propre consommation, et cela est PLUS QU’UNE NECESSITE ;
Ceux qui croient que la culture du coton est ce qui permet au monde paysan de s’acheter des motos, de se construire des maisons coiffées de tôles, de prétendent-il, s’offrir un certain bien être, je voudrais les rassurer très HUMBLEMENT que le prix qu’il paie le monde paysan pour ces broutilles qu’ils voient, n’est que de la SERVITUDE. Car, la france (métropole) n’a pas instituer la culture du coton qu’elle soutient jusqu’alors pour que les cotonculteurs y connaissent un certain bien être, en tout cas pas dans le contexte des échanges actuels et des règles actuels du jeu.
Oui, Thomas Sankara l’avait bien présenté et mis en valeur, ce coton burkinabé qui doit servir à HABILLER les burkinabé, les africains et nous le pouvons ! ! !
Lançons nous ce défis d’habiller les africains avec les produits de leur agricultures, de les nourrir avec les produits de leur agriculture, de les soigner avec les produits de leur nature ! ! !
Tels sont les vrais défis que nous devrions nous lancer et de relever car DAME NATURE NOUS A DOTER DE TOUS CE QU’IL FAUT POUR NOTRE MIEUX ÊTRE, MAIS NOUS LES LAISSONS SPOLIER PAR L’OCCIDENT.