Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Energie : Pour mettre fin aux délestages au Faso, Zéphirin Diabré n’exclut pas l’énergie nucléaire
20 avril 2015, 11:04
Le potentiel éolien est faible pour que l’on pense énergie éolienne sur l’ensemble du territoire. Cette technologie ne peut être mise en place que sur une partie du territoire. Pour la demande en énergie électrique, il est tout a fait vrai que la demande nationale doit dépasser le 1000 MW. Il ne faut pas tabler sur la puissance installée actuelle. Cette puissance installée ne couvre pas la demande existante sans prendre en compte les autres demandes potentielles avec les unités industrielles en cours construction ou quasiment non fonctionnelle (BRAFASO, STFEL, etc.) d’où les délestages. A cela il faut ajouter les besoins des autres villes en plein croissance avec les pôles de croissance pour la transformation agroalimentaire (Bagré Pôle, Pôle du Sahel, Pôle de la Boucle du Mouhoun, ...). Le développement du solaire pourrait être une alternative intéressante.
Le potentiel éolien est faible pour que l’on pense énergie éolienne sur l’ensemble du territoire. Cette technologie ne peut être mise en place que sur une partie du territoire. Pour la demande en énergie électrique, il est tout a fait vrai que la demande nationale doit dépasser le 1000 MW. Il ne faut pas tabler sur la puissance installée actuelle. Cette puissance installée ne couvre pas la demande existante sans prendre en compte les autres demandes potentielles avec les unités industrielles en cours construction ou quasiment non fonctionnelle (BRAFASO, STFEL, etc.) d’où les délestages. A cela il faut ajouter les besoins des autres villes en plein croissance avec les pôles de croissance pour la transformation agroalimentaire (Bagré Pôle, Pôle du Sahel, Pôle de la Boucle du Mouhoun, ...). Le développement du solaire pourrait être une alternative intéressante.