Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Si Karim Traoré reste à l’UNPCB, nous n’allons plus cultiver du coton », dixit Casimir Gnoumou
8 avril 2015, 14:27, par
Ablassé Boncaoré
Chers producteurs de coton, nous sommes au Burkina dans uns pays oú il pleut de moins en moins et oú le sol s´apauvrit de jour en jour. Toute personne qui prend la route Dédougou-Bobo peut constater l´apauvrissement de nos sols dû à la culture du coton. Ce produit ne se mange pas, et n´a de la valeur que si on passait à sa transformation sur place en faso danfani. Nous ne pouvons pas continuer à produire tant de coton alors que cela ne rapporte rien au pays. Essayons autre chose : Plantons des arbres adaptés et utiles à notre environnement ou des arbres fruitiers qui nous aideront à nourrir notre population jeune. Le marché international du coton a des règles qui vont contre nous. Notre pays n´a pas besoin de tant de coton. Ces maigres devises servent à quoi ? Cela augmente notre dépendance vis à vis de la France, puisque c´est à Paris que l´argent du coton est déposé après la vente. Reveillons nous et faisons une agriculture qui nous libère de toute dépendance. Que Dieu bénisse le Burkina Faso. Ablassé Boncaoré
Chers producteurs de coton, nous sommes au Burkina dans uns pays oú il pleut de moins en moins et oú le sol s´apauvrit de jour en jour. Toute personne qui prend la route Dédougou-Bobo peut constater l´apauvrissement de nos sols dû à la culture du coton. Ce produit ne se mange pas, et n´a de la valeur que si on passait à sa transformation sur place en faso danfani. Nous ne pouvons pas continuer à produire tant de coton alors que cela ne rapporte rien au pays. Essayons autre chose : Plantons des arbres adaptés et utiles à notre environnement ou des arbres fruitiers qui nous aideront à nourrir notre population jeune. Le marché international du coton a des règles qui vont contre nous. Notre pays n´a pas besoin de tant de coton. Ces maigres devises servent à quoi ? Cela augmente notre dépendance vis à vis de la France, puisque c´est à Paris que l´argent du coton est déposé après la vente. Reveillons nous et faisons une agriculture qui nous libère de toute dépendance. Que Dieu bénisse le Burkina Faso. Ablassé Boncaoré