Révision du Code électoral : Des Ouagalais se prononcent avant le vote
7 avril 2015, 15:47, par
ELKABOR
Je vois mal les Assimi Kouanda, Alain Yoda, Gilbert Noel Ouédraogo, Ahmadou Djamioda, Salam Dermé, Salia Sanou, Achille Tapsoba, Arthur Kafando, Alpha Yago etc... battre tranquillement campagne pour les élections dans ce Burkina après ce qui s’est passé les 30 et 31 octobre passé. Il ne faut pas se voiler la face, les rancoeurs sont toujours tenaces. Rien que pour leur sécurité, il est mieux qu’ils s’éclipsent au profit d’autres valeureuses personnes au sein de leurs formations politiques respectives. Admettons qu’il leur arrive quelque chose pendant la campagne, qui en sera responsable ? On parlera d’élections violentes au Burkina Faso et patati et patata...salissant le nom du Burkina Faso partout dans le monde.Il vaut mieux qu’ils soient écartés et proprement par la loi. Maintenant s’ils ne sont pas d’accord avec cette loi qu’ils aillent l’attaquer devant les juridictions compétentes. Comme ça on va gérer de manière civilisée nos différends par avocats et juristes interposés, au lieu de laisser la violence éclater dans les rues.
Je vois mal les Assimi Kouanda, Alain Yoda, Gilbert Noel Ouédraogo, Ahmadou Djamioda, Salam Dermé, Salia Sanou, Achille Tapsoba, Arthur Kafando, Alpha Yago etc... battre tranquillement campagne pour les élections dans ce Burkina après ce qui s’est passé les 30 et 31 octobre passé. Il ne faut pas se voiler la face, les rancoeurs sont toujours tenaces. Rien que pour leur sécurité, il est mieux qu’ils s’éclipsent au profit d’autres valeureuses personnes au sein de leurs formations politiques respectives. Admettons qu’il leur arrive quelque chose pendant la campagne, qui en sera responsable ? On parlera d’élections violentes au Burkina Faso et patati et patata...salissant le nom du Burkina Faso partout dans le monde.Il vaut mieux qu’ils soient écartés et proprement par la loi. Maintenant s’ils ne sont pas d’accord avec cette loi qu’ils aillent l’attaquer devant les juridictions compétentes. Comme ça on va gérer de manière civilisée nos différends par avocats et juristes interposés, au lieu de laisser la violence éclater dans les rues.