Grève des chauffeurs : La FENAT déplore la situation et s’excuse auprès des populations

Les Burkinabè digne de ce nom doivent éviter des comportements et des actes comme ceux qu’on a vu avec cette prétendue grève de l’URCB que les visées étaient au delà des seules revendications. Aller en grève est un droit, mais le faire en respectant le droit des autres (non grévistes) est un devoir. Quand on dit qu’au Burkina Faso "plus rien ne sera comme avant" après l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014, cela ne veut pas dire l’anarchie, mais prendre au sérieux le futur de ce pays où ses hommes et ses femmes travaillent pour aller de l’avant dans la dignité et le respect mutuel. Si vous avez pu attendre depuis 2011, souffrez qu’on aille en 2016 (après les élections) avec de nouvelles autorités pour poser votre problème en respectant les règles et procédures en la matière. Vous serez certainement écoutés.