Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Djibrill Bassolé : « M’engager en politique ne doit être assujetti à une quelconque autorisation préalable du président Blaise Compaoré »
30 mars 2015, 01:56, par
Yaya TRAORE
Djibril BASSOLE, dans ses propos et certains de ses actes est vrai homme d’Etat tout comme Zéphirin DIABRE, Rock Christian KABORE...Il a bien parlé dans son interview et dit des choses que je peux onfirmer. Sur RFI, il avait dit son chef (Blaise) n’entreprendra pas quleque chose qui compromette l’ordre et la paix au BURKINA FASO. Peut être que lui, était de bonne foi, mais les 30 et 31octobre et les 1er et 2 novembre 2014 ont donné une autre réalité. De mon opinion, je ne suis pas d’avis avec lui lorsqu’il dénie le droit au peuple de qualifier de bons ceux qui étaient contre la modificationde l’article 37 opposés aux mauvais qui étaient pour. Nous avons certes dépassé cette étape, mais les faits sont sacrés, la plus grande partie de ces derniers, à la date de l’après insurrection, a reconnu son forfait. Nous sommes tous faillibles, travaillons à nous accepter, mais ne rajoutons pas à la peine du peuple en lui demandant l’inacceptable...
Pour les candidatures aux futures élections, la transition n’aura qu’à laisser ceux qui remplissent les conditions exigées par la charte et la constitution s’engager, le vaillant peuple du BURKINA FASO saura choisir même avec ceux qui disaient que personne ne peut diriger le BURKINA FASO hormi Blaise COMPAORE qui se sont trouvés la vocation après l’insurrection.
Djibril BASSOLE, dans ses propos et certains de ses actes est vrai homme d’Etat tout comme Zéphirin DIABRE, Rock Christian KABORE...Il a bien parlé dans son interview et dit des choses que je peux onfirmer. Sur RFI, il avait dit son chef (Blaise) n’entreprendra pas quleque chose qui compromette l’ordre et la paix au BURKINA FASO. Peut être que lui, était de bonne foi, mais les 30 et 31octobre et les 1er et 2 novembre 2014 ont donné une autre réalité. De mon opinion, je ne suis pas d’avis avec lui lorsqu’il dénie le droit au peuple de qualifier de bons ceux qui étaient contre la modificationde l’article 37 opposés aux mauvais qui étaient pour. Nous avons certes dépassé cette étape, mais les faits sont sacrés, la plus grande partie de ces derniers, à la date de l’après insurrection, a reconnu son forfait. Nous sommes tous faillibles, travaillons à nous accepter, mais ne rajoutons pas à la peine du peuple en lui demandant l’inacceptable...
Pour les candidatures aux futures élections, la transition n’aura qu’à laisser ceux qui remplissent les conditions exigées par la charte et la constitution s’engager, le vaillant peuple du BURKINA FASO saura choisir même avec ceux qui disaient que personne ne peut diriger le BURKINA FASO hormi Blaise COMPAORE qui se sont trouvés la vocation après l’insurrection.