Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Djibrill Bassolé : « M’engager en politique ne doit être assujetti à une quelconque autorisation préalable du président Blaise Compaoré »
30 mars 2015, 01:21
"Tout bon flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute" : Djibril tu as fait librement et sans contrainte votre choix de la solidarité gouvernementale pour la modification de l’article 37 au détriment de la solidarité avec le peuple contre la modification de l’article 37. Tu ne peux pas nous embrouiller quelles que soient tes allégations À t’entendre tu n’as rien à te reprocher, tu n’as eu aucun remord de faire partie de l’équipe qui a déposé le projet à l’assemblée. En somme tu te montres comme un homme qui a toujours été propre : au gouvernement, dans l’armée, envers le peuple même en soutenant l’article 37, dans les médiations inachevées....nul par tu ne t’es reproché quelque chose.
Depuis vos parutions et apparitions dans les médias on n’a entendu nul part le mot PARDON de votre bouche même si vous pensez que vous n’avez rien à vous reprocher, votre haute personnalité irréprochable devait vous inspirer cela. Au peuple burkinabè encore : tout bon flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute.
"Tout bon flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute" : Djibril tu as fait librement et sans contrainte votre choix de la solidarité gouvernementale pour la modification de l’article 37 au détriment de la solidarité avec le peuple contre la modification de l’article 37. Tu ne peux pas nous embrouiller quelles que soient tes allégations À t’entendre tu n’as rien à te reprocher, tu n’as eu aucun remord de faire partie de l’équipe qui a déposé le projet à l’assemblée. En somme tu te montres comme un homme qui a toujours été propre : au gouvernement, dans l’armée, envers le peuple même en soutenant l’article 37, dans les médiations inachevées....nul par tu ne t’es reproché quelque chose.
Depuis vos parutions et apparitions dans les médias on n’a entendu nul part le mot PARDON de votre bouche même si vous pensez que vous n’avez rien à vous reprocher, votre haute personnalité irréprochable devait vous inspirer cela. Au peuple burkinabè encore : tout bon flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute.