Pacte pour le renouveau de la justice burkinabè : Une thérapie à 114 vertus ?
29 mars 2015, 19:18, par
Nabiiga
Ce qui est indiscutable au Burkina depuis 27 ans, est le cancer en phase terminable dont souffrait la justice burkinabè. Le système qui nourrissait ce cancer aigu ayant été violamment écrasé par le justiciable, quoi que le gouvernement fasse, qu’il soit ce gouvernement de transition ou tout au gouvernement après celui-ci, pour s’assurer que le cancer ne se réveille pas de sa remission, est un pas solide dans la bonne direction. En dehors des voleurs de poulet, de bétaille ou des petits delinquants sur qui la justice mettait la main, c’est de notoriété publique que les juges rédigeait les jugements mais attendez toujours les versions de Kosyam avant de faire toute autre chose. Dès l’instant où on commence le traitement chimiothérapie de ce cancer par le biais de ce pacte, même si on est toujours au début du traitement, du fait qu’on se rend compte qu’il y a une maladie et qu’on s’attache à le traiter, est déjà un pas géant dans la bonne direction. Courage donc à m. Kafando et ses collaborateurs civils et non pas aux collaborateurs militaires car ils sont à l’origine justement de cette maladie qu’on s’attèle à éliminer laborieusement.
Ce qui est indiscutable au Burkina depuis 27 ans, est le cancer en phase terminable dont souffrait la justice burkinabè. Le système qui nourrissait ce cancer aigu ayant été violamment écrasé par le justiciable, quoi que le gouvernement fasse, qu’il soit ce gouvernement de transition ou tout au gouvernement après celui-ci, pour s’assurer que le cancer ne se réveille pas de sa remission, est un pas solide dans la bonne direction. En dehors des voleurs de poulet, de bétaille ou des petits delinquants sur qui la justice mettait la main, c’est de notoriété publique que les juges rédigeait les jugements mais attendez toujours les versions de Kosyam avant de faire toute autre chose. Dès l’instant où on commence le traitement chimiothérapie de ce cancer par le biais de ce pacte, même si on est toujours au début du traitement, du fait qu’on se rend compte qu’il y a une maladie et qu’on s’attache à le traiter, est déjà un pas géant dans la bonne direction. Courage donc à m. Kafando et ses collaborateurs civils et non pas aux collaborateurs militaires car ils sont à l’origine justement de cette maladie qu’on s’attèle à éliminer laborieusement.