Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaire de cannettes périmées : 12 mois de prison et 10 millions FCFA d’amendes requis contre Boureima Ouédraogo et Noufou Ouédraogo
28 mars 2015, 12:36, par
Kanzim
Je lance d’abord un avis de mise en garde à l’endroit des consommateurs : un entretien radiodiffusé au cours duquel on faisait la publicité sur les cubes exhausteurs de goût, ce que la ligue appelle "bouillon de cuisson". Cette publicité faite par la société en question disait ceci : "les cubes que nous vendons ne connaît pas de péremption, même si après une longue durée in ne comporte aucun goût". Ce qui m’a frappé, c(’est que ni un médecin, ni un nutritionniste ne participaient à cet entretien. C’était une façon de rattraper les méventes des cannettes assassines. Et j’ai pensé à nos sœurs, ventrues pour certaines, ébréchée et hébétée par la bière et la musique, enveloppée dans des pagnes cubes jumbo et trémoussant et montrant des vilénies, comme si la femme n’était pas le berceau et ferment de l’intelligence de ce monde. Il faut que les consommateurs arrête l’utilisation de ces cubes. D’abord nos mamans et sœurs : le cube est un trompe-couillon, parce qu’il change le goût d’une sauce que des consommateurs conditionnés trouvent bon. Mais pire, le cube réfute à la femme et à l’homme, son talent d’art culinaire, son ingéniosité dans l’utilisation de tous ces bons ingrédients naturels qui font de la sauce et du plat de véritables source s de bonheur du palais, et d’apports en éléments nutritifs inégalables. Qu’on pense à nos mamans et grand-mères au Yatenga, qui seulement avec du kari ou zamané sont capables de le mélanger aux feulles de baobab pour en faire un régal. Un régal qui devient une délicatesse si l »’on y ajoute quelques morceaux de crapauds séchés. Pensons encore. Pensons encore à nos grand-mères et épouses bobo, qui avec les chenilles rendent le soumbala meilleur que tout cube, pour nous faire délecter l’exquis repas accompagné de chitoumou. Pourquoi alors laisser nos épouses, filles, frères et sœurs enrichir des assassins qui eux ne pensent qu’à leur profit ?
Je lance d’abord un avis de mise en garde à l’endroit des consommateurs : un entretien radiodiffusé au cours duquel on faisait la publicité sur les cubes exhausteurs de goût, ce que la ligue appelle "bouillon de cuisson". Cette publicité faite par la société en question disait ceci : "les cubes que nous vendons ne connaît pas de péremption, même si après une longue durée in ne comporte aucun goût". Ce qui m’a frappé, c(’est que ni un médecin, ni un nutritionniste ne participaient à cet entretien. C’était une façon de rattraper les méventes des cannettes assassines. Et j’ai pensé à nos sœurs, ventrues pour certaines, ébréchée et hébétée par la bière et la musique, enveloppée dans des pagnes cubes jumbo et trémoussant et montrant des vilénies, comme si la femme n’était pas le berceau et ferment de l’intelligence de ce monde. Il faut que les consommateurs arrête l’utilisation de ces cubes. D’abord nos mamans et sœurs : le cube est un trompe-couillon, parce qu’il change le goût d’une sauce que des consommateurs conditionnés trouvent bon. Mais pire, le cube réfute à la femme et à l’homme, son talent d’art culinaire, son ingéniosité dans l’utilisation de tous ces bons ingrédients naturels qui font de la sauce et du plat de véritables source s de bonheur du palais, et d’apports en éléments nutritifs inégalables. Qu’on pense à nos mamans et grand-mères au Yatenga, qui seulement avec du kari ou zamané sont capables de le mélanger aux feulles de baobab pour en faire un régal. Un régal qui devient une délicatesse si l »’on y ajoute quelques morceaux de crapauds séchés. Pensons encore. Pensons encore à nos grand-mères et épouses bobo, qui avec les chenilles rendent le soumbala meilleur que tout cube, pour nous faire délecter l’exquis repas accompagné de chitoumou. Pourquoi alors laisser nos épouses, filles, frères et sœurs enrichir des assassins qui eux ne pensent qu’à leur profit ?