Nominations au Conseil constitutionnel : Un acte « inconstitutionnel » selon la Société Burkinabè de Droit Constitutionnel
28 mars 2015, 03:25, par
Sans rancune
Vous voyez chacun doit être à la place qu’il lui faut. Ce professeur croit qu’il est toujours à l’université. Avez-vous besoin d’organiser une conférence de presse pour expliquer au peuple burkinabè que les nominations au conseil constitutionnel sont inconstitutionnelles ? On sent de l’aigreur en vous. Vous auriez aimer siéger au conseil constitutionnel certainement. Vous savez mr soma, les gueulards n’ont pas toujours raison et n’aurez jamais la carrure d’un homme d’Etat. C’est l’amitié et non vos compétence qui vous a permis d’être nommé conseiller à la primature. Lavez votre linge sale en famille et foutez nous la paix. Je ne suis pas pro Blaise mais ou étiez vous quand Blaise au nom de cette même constitution a demandé en vain à terminer juste son mandat après l’échec de la modification de l’article 37 ? Qu’on en finisse avec la transition et que tous ces illuminés rejoignent les salles sombres des amphithéâtres. Cessez de divertir le peuple.
Vous voyez chacun doit être à la place qu’il lui faut. Ce professeur croit qu’il est toujours à l’université. Avez-vous besoin d’organiser une conférence de presse pour expliquer au peuple burkinabè que les nominations au conseil constitutionnel sont inconstitutionnelles ? On sent de l’aigreur en vous. Vous auriez aimer siéger au conseil constitutionnel certainement. Vous savez mr soma, les gueulards n’ont pas toujours raison et n’aurez jamais la carrure d’un homme d’Etat. C’est l’amitié et non vos compétence qui vous a permis d’être nommé conseiller à la primature. Lavez votre linge sale en famille et foutez nous la paix. Je ne suis pas pro Blaise mais ou étiez vous quand Blaise au nom de cette même constitution a demandé en vain à terminer juste son mandat après l’échec de la modification de l’article 37 ? Qu’on en finisse avec la transition et que tous ces illuminés rejoignent les salles sombres des amphithéâtres. Cessez de divertir le peuple.