Insécurité à l’Est du Burkina : la population entre collaboration et prudence.
20 mars 2015, 18:26, par
El Quebrantador
Je ne comprends pas la pléthore de gendarmes dans les villes pendant que dans les campagnes où ils sont censés s’y trouver, ils n’y sont pas. Lorsque l’on désigne pompeusement une brigade en campagne, c’est au plus 4 ou 5 gendarmes. Tout juste ce qu’il faut pour impressionner et racketter nos paysans.
Aussi, je ne comprends pas que ce soit toujours les mêmes brigands de grand chemin, les braqueurs notoires, les même coupeurs avec morts d’hommes qui sont toujours repris par nos forces de l’ordre. Remarquez qu’à chaque arrestation, on n’oublie jamais de mentionner que ce sont des "repris de justice", des déjà "connus de la justice et de la police" etc. Quel crime faut-il donc commettre pour passer suffisamment de temps à l’ombre alors ? Peut-être une supposée "agression de magistrat dans l’exercice de ses fonctions", crime suprême de lèse majesté !
Je ne comprends pas la pléthore de gendarmes dans les villes pendant que dans les campagnes où ils sont censés s’y trouver, ils n’y sont pas. Lorsque l’on désigne pompeusement une brigade en campagne, c’est au plus 4 ou 5 gendarmes. Tout juste ce qu’il faut pour impressionner et racketter nos paysans.
Aussi, je ne comprends pas que ce soit toujours les mêmes brigands de grand chemin, les braqueurs notoires, les même coupeurs avec morts d’hommes qui sont toujours repris par nos forces de l’ordre. Remarquez qu’à chaque arrestation, on n’oublie jamais de mentionner que ce sont des "repris de justice", des déjà "connus de la justice et de la police" etc. Quel crime faut-il donc commettre pour passer suffisamment de temps à l’ombre alors ? Peut-être une supposée "agression de magistrat dans l’exercice de ses fonctions", crime suprême de lèse majesté !