Affaire « produits périmés » au restaurant central de l’Université de Ouagadougou : Un « projet d’assassinat collectif », selon une organisation d’étudiants

Cette réaction est à notre sens à priori justifiée au regard du climat de suspicion crée par l’affaire OBOUF qui n’a d’ailleur pas fini de livrer son contenu. Nul besoin d’être un devin pour savoir que ce n’est pas un cas isolé ! Au Burkina et peut être ailleur aussi, tout est presque copie dans le monde dit des affaires.

Par ailleurs, les cas de décès par crises cardiaques précoces (av. 50-60 ans), de problème de reins, de foie se multiplient sans que l’on soit à mesure d’établir des liens de causalité par ce que nous sommes des croyants prêts à tout accepter, à tout pardonner enfin à tout oublier.
Oui, tout vient de Dieu : la maladie, la mort etc....

Il faut donc arracher la mauvaise herbe mais bien entendu en faisant beaucoup attention pour ne pas detruire la plante ! Mais tant que l’on va attendre des réactions enflammées pour agir on va cataloguer les victimes innocentes et de tous les côtés !

Vue l’ampleur et les vagues probables, une cellule de crise devais être mise en place pour proposer des mesures d’approches.... soutien à cette lutte. Pas de fumée sans feu.