Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Quartier Bonheur-ville (Ouaga) : Un cross populaire citoyen comme mode d’interpellation citoyenne
16 mars 2015, 12:00, par
Un Habitant
Pour nous habitants de Bonheur Ville, nous déplorons la polémique née de la malencontreuse sortie de l’ex ministre des transports de la transition qui a fait croire que cette route serait bitumée pour aller au champ du président Kafando. Le bitumage de cette route est un vieux projet qui est comme un mirage. Plusieurs fois annoncé mais jamais réalisé. Vivement que cette démarche citoyenne ait un écho favorable auprès de nos autorités qui n’attendront pas des actions énergiques avant de réagir. Il faut la prendre chaque jour pour comprendre qu’il est plus aisé de porter sa croix que de circuler sur cette route dont l’état de dégradation n’a d’égal que les sentiers qui mènaient aux champs de nos arrières grand parents.
Il en est de même pour l’électricité. Nous sommes des oubliés de la ville de Ouagadougou. Nous comprenons difficilement que l’électricité produite par la centrale de Komsilga nous survole pour desservir d’autres quartiers. Il est temps de corriger cette injustice.
Pour nous habitants de Bonheur Ville, nous déplorons la polémique née de la malencontreuse sortie de l’ex ministre des transports de la transition qui a fait croire que cette route serait bitumée pour aller au champ du président Kafando. Le bitumage de cette route est un vieux projet qui est comme un mirage. Plusieurs fois annoncé mais jamais réalisé. Vivement que cette démarche citoyenne ait un écho favorable auprès de nos autorités qui n’attendront pas des actions énergiques avant de réagir. Il faut la prendre chaque jour pour comprendre qu’il est plus aisé de porter sa croix que de circuler sur cette route dont l’état de dégradation n’a d’égal que les sentiers qui mènaient aux champs de nos arrières grand parents.
Il en est de même pour l’électricité. Nous sommes des oubliés de la ville de Ouagadougou. Nous comprenons difficilement que l’électricité produite par la centrale de Komsilga nous survole pour desservir d’autres quartiers. Il est temps de corriger cette injustice.