Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF
27 février 2015, 10:04, par
Badra
Regardez-vous maintenant dans un miroir après un tel raisonnement truffé de platitude. Je vous pleure chers avocats du diable. N’allons pas chercher loin le diable. Les voilà. La Constitution ne prône pas, en aucun de ses articles le faux et l’usage du faux, l’escroquerie et le mensonge, etc.... C’est bien de cela qu’il s’agit : effacer les dates de péremption et les remplacer par de nouvelles dates pour tromper les consommateurs sur la qualité des produits vendus. Au Qatar par exemple (événement impossible de se réaliser là-bas tant la question alimentaire est une question hautement stratégique et scrupuleusement suivie avec la plus grande attention), vous et le responsable de OBOUF seriez déjà entrain de méditer votre sort en prison avant qu’une sanction exemplaire ne tombe. Comment défendre un tel dossier, il y a la déontologie dans tous les corps de métiers quand même.
Regardez-vous maintenant dans un miroir après un tel raisonnement truffé de platitude. Je vous pleure chers avocats du diable. N’allons pas chercher loin le diable. Les voilà. La Constitution ne prône pas, en aucun de ses articles le faux et l’usage du faux, l’escroquerie et le mensonge, etc.... C’est bien de cela qu’il s’agit : effacer les dates de péremption et les remplacer par de nouvelles dates pour tromper les consommateurs sur la qualité des produits vendus. Au Qatar par exemple (événement impossible de se réaliser là-bas tant la question alimentaire est une question hautement stratégique et scrupuleusement suivie avec la plus grande attention), vous et le responsable de OBOUF seriez déjà entrain de méditer votre sort en prison avant qu’une sanction exemplaire ne tombe. Comment défendre un tel dossier, il y a la déontologie dans tous les corps de métiers quand même.