Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaire boissons dites frelatées : La mise au point du Groupe OBOUF
27 février 2015, 08:28, par
TIENFO
Ah les avocats. Les jeux de mots. On vous comprend. Faites votre boulot et prenez vos honoraires. Moi j’estime que votre communication est claire. Il y a acte illégal. C’est comme si vous disiez qu’en circulation, le non-respect du code de la route n’est pas un délit s’il n’y a pas eu accident mortel. Éviter d’être ridicule à la limite dans cette affaire nauséabonde de cannettes périmées. Le véritable problème du Burkina se situe au niveau de sa justice. C’est cette justice à plusieurs vitesses qui a été à l’origine de toutes les calamités à l’origine des événements des journées des 30 et 31 octobre dernier. L’expression consacrée étant : « on fait et y a rien ». Heureusement que le président Blaise et clan constitué essentiellement d’ « avocats » et de « juges acquis » en ont appris à leur dépend.
J’espère que le groupe OBOUF fera aussi l’amère expérience. Vivement que les états généraux de la justice tant attendus accouchent d’un « bébé » digne de nos espoirs. Plus rien ne sera plus comme avant. Et ça vous le savez bien chers avocats et il est temps d’en tenir compte dans la défense de vos clients. Aucun procès ne sera plus conclu à l’avance autour d’un verre de « bon vin » avec ses effets de rires à gorge déployée. Je suis pleinement d’accord avec vous quand vous avancez les termes de l’article 1er de la constitution. « Tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droits. Tous ont une égale vocation à jouir de tous les droits et de toutes les libertés garantis par la présente constitution… ».
Ah les avocats. Les jeux de mots. On vous comprend. Faites votre boulot et prenez vos honoraires. Moi j’estime que votre communication est claire. Il y a acte illégal. C’est comme si vous disiez qu’en circulation, le non-respect du code de la route n’est pas un délit s’il n’y a pas eu accident mortel. Éviter d’être ridicule à la limite dans cette affaire nauséabonde de cannettes périmées. Le véritable problème du Burkina se situe au niveau de sa justice. C’est cette justice à plusieurs vitesses qui a été à l’origine de toutes les calamités à l’origine des événements des journées des 30 et 31 octobre dernier. L’expression consacrée étant : « on fait et y a rien ». Heureusement que le président Blaise et clan constitué essentiellement d’ « avocats » et de « juges acquis » en ont appris à leur dépend.
J’espère que le groupe OBOUF fera aussi l’amère expérience. Vivement que les états généraux de la justice tant attendus accouchent d’un « bébé » digne de nos espoirs. Plus rien ne sera plus comme avant. Et ça vous le savez bien chers avocats et il est temps d’en tenir compte dans la défense de vos clients. Aucun procès ne sera plus conclu à l’avance autour d’un verre de « bon vin » avec ses effets de rires à gorge déployée. Je suis pleinement d’accord avec vous quand vous avancez les termes de l’article 1er de la constitution. « Tous les Burkinabè naissent libres et égaux en droits. Tous ont une égale vocation à jouir de tous les droits et de toutes les libertés garantis par la présente constitution… ».