Foncier au Burkina : 34% des terres de production agricole sont dégradées
24 février 2015, 10:17, par
Positif
Très belle initiative mais très mal orientée. Je suis désolé de constater que cette formation soit faite au profit de journalistes. Je ne suis pas contre les journalistes mais je voudrais tout simplement dire que les acteurs du monde rural sont à mon avis les premiers concernés. Vous venez de souligner que "L’agriculture, l’élevage et la foresterie mobilisent en effet environ 85% de la population burkinabè". Ce sont donc les agents de ces secteurs qui devraient avoir un renforcement de capacité en la matière. Ce sont ces agents qui ont pour charge d’aider ces "85% de la population " travaillant la terre à préserver les ressources naturelles.
De grâce, s’il est dit qu’il n’y pas de moyens pour former les agents, au moins, les formations occasionnelles doivent être bien orientées. N’est ce pas que plus rien ne sera comme avant ?
Très belle initiative mais très mal orientée. Je suis désolé de constater que cette formation soit faite au profit de journalistes. Je ne suis pas contre les journalistes mais je voudrais tout simplement dire que les acteurs du monde rural sont à mon avis les premiers concernés. Vous venez de souligner que "L’agriculture, l’élevage et la foresterie mobilisent en effet environ 85% de la population burkinabè". Ce sont donc les agents de ces secteurs qui devraient avoir un renforcement de capacité en la matière. Ce sont ces agents qui ont pour charge d’aider ces "85% de la population " travaillant la terre à préserver les ressources naturelles.
De grâce, s’il est dit qu’il n’y pas de moyens pour former les agents, au moins, les formations occasionnelles doivent être bien orientées. N’est ce pas que plus rien ne sera comme avant ?