Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le président Michel Kafando demande l‘engagement et le soutien des populations de la région des Cascades
23 février 2015, 09:24, par
La Paix au Faso
Pour ma modeste contribution à la situation qui prévaut dans la région des Cascades, precisement au sujet de la SN-SOSUCO, je souhaiterai, revenir sur l’épineuse question de l’occupation des terres des villages environnants par la SOSUCO, avec destruction des ressources (arbres fruitiers, ressources forestieres non ligneux....) ainsi que du patrimoine culturel. Nul n’est sans savoir que les multiples promesses tenues régulièrement n’ont pas été respectées jusqu’alors...
Rendez-vous compte que certains villages ne disposent même plus de terre pour la construction de maison pour chacun de ses fils, à plus forte raison pour cultiver et se nourrir.
Si, au depart, la société appartenait a l’Etat, la situation actuelle pouvait mieux se comprendre, sans toutefois se justifier. A partir du moment ou la société est privatiser, faut il qu’elle continue d’occuper et d’exploiter des terres, dont l’apport est tout aussi considérable, sans compensation aucune pour les populations auxquelles elles APPARTIENNENT. Une solution urgente mérite d’être trouvée à cette situation déplorable qui n’a que plus duré...
Pour ma modeste contribution à la situation qui prévaut dans la région des Cascades, precisement au sujet de la SN-SOSUCO, je souhaiterai, revenir sur l’épineuse question de l’occupation des terres des villages environnants par la SOSUCO, avec destruction des ressources (arbres fruitiers, ressources forestieres non ligneux....) ainsi que du patrimoine culturel. Nul n’est sans savoir que les multiples promesses tenues régulièrement n’ont pas été respectées jusqu’alors...
Rendez-vous compte que certains villages ne disposent même plus de terre pour la construction de maison pour chacun de ses fils, à plus forte raison pour cultiver et se nourrir.
Si, au depart, la société appartenait a l’Etat, la situation actuelle pouvait mieux se comprendre, sans toutefois se justifier. A partir du moment ou la société est privatiser, faut il qu’elle continue d’occuper et d’exploiter des terres, dont l’apport est tout aussi considérable, sans compensation aucune pour les populations auxquelles elles APPARTIENNENT. Une solution urgente mérite d’être trouvée à cette situation déplorable qui n’a que plus duré...
Ceci est un cri de coeur !!!