Suivi de la Transition :On ne tue pas un serpent a moitié

Les partis politiques et particulièrement le CEFOP sont comptables du tâtonnement sinon de la dérive des acquis de l’insurrection populaire de fin Octobre que nous vivons aujourdhui. le résultat d’une si longue lutte ne pouvait plus revenir aux mains de ceux la qui sont a l’origine de la crise politique. aucun responsable de l’opposition n’a eu le courage de prendre les choses en mains après le départ de Blaise. Ils ont tous calculé avec Kossyam pendant cinq ans au moins ; et voila que le serpent blessé est devenu plus dangereux et fait peur....
Ce cadre de concertation est ni plus ni moins un autre foyer de tensions de positionnement des plus gueulards en vue des futures élections.
Ce qu’il faut au Burkina Faso pour parvenir aux élections prévues ; c’est l’arrestation de monsieur Blaise compaoré et Gilbert diendéré pour crimes de sang contre Sankara Thomas dont ils ont avoué l’assassinat en avouant que c’est un camarade qui sétait trompé ; ses compagnons qui sont morts avec lui le 15 Octobre 87 ; Henri zongo ; Lingani et autres : les familles peuvent reformuler la plainte, et saisir un tribunal international au besoin pour que monsieur Blaise compaoré et Gilbert diendéré soient inquiétés et quittent définitivement la scene politique du Burkina Faso.
Tant que ces deux la seront libres de leurs mouvements ; le Burkina aura des Blaises et des diendéré dans toutes les structures politiques du pays.
ON NE TUE PAS UN SERPENT A MOITIE.