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Crise à la SMB : La vérité selon Saïdou Idé, Directeur général adjoint

7 février 2015, 09:30, par patriote

Ce Monsieur reste égal à lui-même, grand manipulateur devant l’éternel. Une question : c’est qu’elle boutique qui ne fait pas recette depuis plus de 6 ans et qui ne ferme pas ? Ne prenez pas les gens pour des niais.
1. Le premier appel de l’huissier pour na notification de la lettre de licenciement a eu lieu le 22 Décembre 2014, pourtant la SMB a viré ses salaires déjà à la date du 20 Décembre dans les banques. C’est dire que les travailleurs ont su qu’ils étaient licenciés au niveau des banques.
2. Dans le PV, l’équipe de service minimum resté sur place ne devrait pas coulée de l’or, pourtant vous l’aviez fait pendant que tous les travailleurs étaient chez eux. Le premier départ sur le site a eu lieu le 02 janvier 2015 à la gendarmerie de paspanga. Alors que vous aviez expédié de l’or le 30 décembre 2014.
3. L’Article 388 du code de travail dit que le lock out (fermeture de l’entreprise) ne doit pas être fait avant épuisement de la procédure de la conciliation. Déjà à la date du 8 Décembre 2014 vous aviez décidez de suspendre vos activités alors que la mission conjointe est arrivé le 10 Décembre 2014 pour la conciliation pour une reprise de travail c’est bien dit dans le PV. Vous n’êtes pas sans savoir qu’un lock out fait en porte à faux avec l’Article 388 du code de travail est illégale, mais vous n’en parlez même pas ? pourtant c’est la SMB qui a appelé les conciliateurs.
4. Les licenciements concernent technique ceux qui n’étaient pas à leur poste. La vérité s’est que vous aviez rappelez au Hazard. Des travailleurs qui étaient en poste et pas non moins important ont été rappelés. Aussi, quand les bus sont venus pour ramener les travailleurs jugés être en repos sr le site, les bus sont repartis vide, et pourquoi ? l’adhésion à une grève est volontaire pour votre information.
5. Dit que ce sont votre accointement avec le ministre BA des mines qui a permis votre reprise des activités. C’est pour ça que le syndicat charge le ministre pour sa complicité dans les présents licenciements. Mais son silence coupable a fini par convaincre l’opinion publique de sa mauvaise foi.
6. Déjà à la date du 12 décembre vous notifiez les lettre de licenciement aux travailleurs et c’est le 15 décembre que vous écriviez au ministre du travail pour l’informez des soit disant conséquence de la suspension des activités sur le contrat des travailleurs. Vous n’aviez aucun respect pour les autorités de ce pays et vous n’en aviez jamais eu. Vous vous perdriez dans votre outrecuidance.
7. M. le Directeur Général ou Directeur Général Adjoint, si des travailleurs doivent aller en grève pour réclamer une grille salariale et un organigramme dans une entreprise, c’est dire qu’il ya une faillite de gestion. Si vous étiez intègre c’est vous qui démissionneriez au lieu que les travailleurs demandent votre départ, malheureusement vous venant d’autres contrées !