Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
La CCVC contre la baisse insignifiante du prix du carburant
23 janvier 2015, 10:04, par
Tiéfotiè
Les arguments fournis par le gouvernement ne peuvent en aucun cas prospérer surtout quand il affirme sans sourciller que le maintien des prix à la pompe permet de renflouer les caisses de la SONABHY et combler le déficit que celle-ci traine depuis des années. A supposer que ce soit le cas, les différentes baisses du prix du baril à l’international a commencé depuis le mois d’août 2014 ; de cette période jusqu’à nos jours, les prix à la pompe ont été maintenus donc apportant à la faitière des hydrocarbures des bénéfices énormes de sorte à pouvoir remonter la pente, mais aussi de faire une énorme réserve pour parer à toute situation malencontreuse à partir du moment où elle a engrangé des bénéfices énormes sur une période de plus de six mois que la baisse perdure. D’un prix du baril à 130 $ US à l’international à 49 $ voire 45 $ à nos jours, si cette différentielle n’a pas permis à la SONABHY de relever la tête, il y a de quoi s’inquiéter. Dans tous les cas, la population Burkinabè ne saurait être comptable de la mal gouvernance ou des indélicatesses dans la gestion de cette boite. Il faut absolument situer les responsabilités et prendre des mesures idoines qui s’imposent. La crédibilité du gouvernement en dépend et partant de là, la transition elle même. ou bien, N’diaba ?
Les arguments fournis par le gouvernement ne peuvent en aucun cas prospérer surtout quand il affirme sans sourciller que le maintien des prix à la pompe permet de renflouer les caisses de la SONABHY et combler le déficit que celle-ci traine depuis des années. A supposer que ce soit le cas, les différentes baisses du prix du baril à l’international a commencé depuis le mois d’août 2014 ; de cette période jusqu’à nos jours, les prix à la pompe ont été maintenus donc apportant à la faitière des hydrocarbures des bénéfices énormes de sorte à pouvoir remonter la pente, mais aussi de faire une énorme réserve pour parer à toute situation malencontreuse à partir du moment où elle a engrangé des bénéfices énormes sur une période de plus de six mois que la baisse perdure. D’un prix du baril à 130 $ US à l’international à 49 $ voire 45 $ à nos jours, si cette différentielle n’a pas permis à la SONABHY de relever la tête, il y a de quoi s’inquiéter. Dans tous les cas, la population Burkinabè ne saurait être comptable de la mal gouvernance ou des indélicatesses dans la gestion de cette boite. Il faut absolument situer les responsabilités et prendre des mesures idoines qui s’imposent. La crédibilité du gouvernement en dépend et partant de là, la transition elle même. ou bien, N’diaba ?