Transition politique au Burkina Faso : Pour que diriger ne rime pas avec « méfiance », « dégoût » et « déception » !
22 janvier 2015, 09:55, par
Peuple
Au burkina, nous avons un peuple méchant et jaloux qui n’aime pas voir l’autre évoluer. Dans ces conditions que chacun se cherche. Ceux qui gère la transition ont tous compris.
Au burkina, nous avons un peuple méchant et jaloux qui n’aime pas voir l’autre évoluer. Dans ces conditions que chacun se cherche. Ceux qui gère la transition ont tous compris.