Djibrill Bassolé : « Je prendrai bientôt congé de l’Armée pour mieux servir mon pays et l’Afrique »

Mr. Bassolé, vous étiez déjà un civile a transférer devant la justice comme tout citoyen Burkinabé. Inutile de duper le peuple. Vous êtes au cœur de tous les crimes odieux du régime Compaoré. Votre Gendarmerie associé aux mensonges en couvrant les assassins de Norbert Zongo, et de David Ouédraogo dont vous étiez la personne qui décide, ne pourra jamais reprendre un poste de responsabilité de notre pays pour réinstaurer l’injustice et l’impunité. Comme je vous ai dit, prenez votre retraite et attendre qu’on vous cite dans les dossiers des crimes odieux que la nouvelle justice du Burkina va ouvrir. Vous ne pouvez en aucun cas justifier votre innocence que vous n’êtes pas la personne qui a étouffé dès le départ les dossiers des crimes de Norbert Zongo et de David Ouédraogo ainsi que d’autres, puisque vos gendarmes étaient au cœur des enquêtes et vous le décideur d’étouffer les dossiers et couvrir la famille Compaoré. Le Burkina est un village, et tout se sait. Le Burkina de Bassolé et de Kouanda spécialisé de la corruption, de l’injustice et de la manipulation est terminé. Vous laissez revenir au pouvoir, c’est vous le président, Gilbert Diendéré premier ministre, Zida président de l’assemblée nationale, et Blaise Compaoré Conseiller a la présidence en attendant les élections de 2020 pour la continuité du régime sanguinaire, tué qui on veut, ou on veut, pour le pouvoir. Non le peuple a muri, Zida a voulu montré le cru de votre manège, mais le peuple lui a remis a sa place pour la bonne marche d’une transition sur une dynamite qui aboutira a une alternance politique et économique apaisé avec la jeunesse Burkinabé. J’ai crié, crié, crié, et dire a mon petit frère Blaise Compaoré qu’il va droit au mur avec vos conseils de modifier l’article 37, j’ai même été jusqu’à dire a sa femme dans un meeting a Bobo de conseiller son époux de ne pas écouter vos conseils, et voilà le résultat, il est en exile et vous essayez de récoler le pot cassé. Si vous m’aviez écouté, la lettre et l’esprit de l’article 37 vous permettait de revenir en 2020 après avoir respecté ce fameux arbitre entre un président prédateur et son peuple qui est l’article 37. Vous Bassolé, en écoutant lé Blé Goudé de la jeunesse du CDP, financer depuis la Cote d’Ivoire, vous signez la mort totale de votre vie politique. Faites-vous oublié, et laisser le peuple soufflé de vos crimes. Et peut-être après 2020, le peuple pensera à vous. La cicatrice est recentre Mr. Bassolé, le peuple peut pardonner mais n’oublie pas, vous aller droit au mur avec votre stupidité.