Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Coexistence pacifique entre Béninois et Burkinabè : Préserver la paix à Koualou
28 janvier 2015, 13:48, par
Cosme Lucien Zounon
Bonjour à tous
Je comprends que les frontières nées de la colonisation ont fait du tort au continent africain et continuent d’en faire depuis des décennies entre le Burkina Faso et le Bénin.
Nous devrions trouver rapidement une solution pour une harmonie entre les deux peuples. Ce conflit vieux depuis des années qu’attends les Présidents des deux pays pour trouver une solution consensuelle . Je comprends aussi le comportement des Béninois par rapport à la situation de l’île de Lété au Niger où le feu Président Houphouet avait demandé au Béninois, Dahomey d’alors de laisser la hache de guerre pour que la paix soit de mise entre les deux nations. Mais aux grands dames des Béninois, la Cour de Justice Internationale n’a plus réglé le problème comme cela se devrait. Elle s’est résigne à faire le jugement sur la base de l’effectivité de l’occupation et non sur la base de titulaire de l’espace et de documents de propriété. Ce qui relance le débat des frontières héritées de la colonisation. Que devrions nous faire alors pour préserver la paix ? La réponse est dans les mains des dirigeants des deux pays pour préserver la paix.
Bonjour à tous
Je comprends que les frontières nées de la colonisation ont fait du tort au continent africain et continuent d’en faire depuis des décennies entre le Burkina Faso et le Bénin.
Nous devrions trouver rapidement une solution pour une harmonie entre les deux peuples. Ce conflit vieux depuis des années qu’attends les Présidents des deux pays pour trouver une solution consensuelle . Je comprends aussi le comportement des Béninois par rapport à la situation de l’île de Lété au Niger où le feu Président Houphouet avait demandé au Béninois, Dahomey d’alors de laisser la hache de guerre pour que la paix soit de mise entre les deux nations. Mais aux grands dames des Béninois, la Cour de Justice Internationale n’a plus réglé le problème comme cela se devrait. Elle s’est résigne à faire le jugement sur la base de l’effectivité de l’occupation et non sur la base de titulaire de l’espace et de documents de propriété. Ce qui relance le débat des frontières héritées de la colonisation. Que devrions nous faire alors pour préserver la paix ? La réponse est dans les mains des dirigeants des deux pays pour préserver la paix.
Cordiales