Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Multiplication des contestations de rue : Le bloc du 21 octobre lance un appel au gouvernement pour que ça cesse
5 janvier 2015, 06:20, par
Pierros
A mon humble avis vous même n’avez rien compris en l’expression "État de droit". Ce n’est pas croyable que vous vous insurgez pour museler une partie de la population. Il faut plutôt travailler à encadrer toutes ses expressions comme dans un État civilisé. Il me semble que vous avez déjà oublié d’où vous venez et cela est déplorable. Où voulez-vous que celui qui a faim, qui n’arrive pas à manger à sa faim, qui n’a pas de boulot, qui n’arrive pas à se loger décemment, à se soigner aille s’exprimer si vous lui enlever la "ruecratie". Si dans les pays dits riches et développés les citoyens manifestent leur "ruecratie" alors ce n’est pas dans un pauvre pays avant dernier dans le classement mondial que les citoyens doivent taire les problèmes qui les affligent au quotidien au contraire il doit y avoir plus de manifestations. Il faut savoir les canaliser afin qu’elles participent au développement du pays. Ce n’est pas en réprimant d’une manière abrupte et sauvage que les autorités résoudront le problème des jeunes. "L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas qu’on s’apitoie sur son sort. Il répondra seul de ses actes s’il compte sur la condescendance d’un maitre qui prétend l’affranchir."(Thomas Sankara à l’ONU). Attention au caractère dictatorial propre à l’État d’exception. Mettez en place une structure, une institution de gestion de crise chargée de prévenir les conflits plutôt que d’attendre que les gens cassent, brûlent, pillent et violent pour comprendre leur désarroi de voir une catégorie de riches aux biens mal acquis faire le dindon dans le pays.
A mon humble avis vous même n’avez rien compris en l’expression "État de droit". Ce n’est pas croyable que vous vous insurgez pour museler une partie de la population. Il faut plutôt travailler à encadrer toutes ses expressions comme dans un État civilisé. Il me semble que vous avez déjà oublié d’où vous venez et cela est déplorable. Où voulez-vous que celui qui a faim, qui n’arrive pas à manger à sa faim, qui n’a pas de boulot, qui n’arrive pas à se loger décemment, à se soigner aille s’exprimer si vous lui enlever la "ruecratie". Si dans les pays dits riches et développés les citoyens manifestent leur "ruecratie" alors ce n’est pas dans un pauvre pays avant dernier dans le classement mondial que les citoyens doivent taire les problèmes qui les affligent au quotidien au contraire il doit y avoir plus de manifestations. Il faut savoir les canaliser afin qu’elles participent au développement du pays. Ce n’est pas en réprimant d’une manière abrupte et sauvage que les autorités résoudront le problème des jeunes. "L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas qu’on s’apitoie sur son sort. Il répondra seul de ses actes s’il compte sur la condescendance d’un maitre qui prétend l’affranchir."(Thomas Sankara à l’ONU). Attention au caractère dictatorial propre à l’État d’exception. Mettez en place une structure, une institution de gestion de crise chargée de prévenir les conflits plutôt que d’attendre que les gens cassent, brûlent, pillent et violent pour comprendre leur désarroi de voir une catégorie de riches aux biens mal acquis faire le dindon dans le pays.