Suspension du CDP, de l’ADF-RDA et de la FEDAP/BC : Ablassé Ouédraogo demande en plus d’interdire d’élection tous les anciens collaborateurs de Blaise Compaoré
24 décembre 2014, 14:18, par
Kaboré Tanga
Je suis d’accord en partie avec l’éminent homme politique et homme d’État qu’est Ablassé OUEDRAOGO. Je serai plus concret en traduisant ses idées en propositions concrètes.
1- Tous les leaders politiques qui se sont compromis dans la modification de l’article 37 (théorie et mise en œuvre)peuvent être suspendus. Ils sont faciles à identifier car ils ont écrits, participer à des émissions, à des caravanes et avaient donné leur accord pour le "oui" à l’assemblée. Que les technocrates cooptés dans le gouvernement pour lui donner un visage supportable soit épargné ; eux aussi sont connus.
2- Nul ne doit faire plus de deux mandats consécutifs pour les mandants électifs et plus de 08 ans pour les postes nominatifs.
3- L’on ne peut pas prétendre à un mandat électif après 60 ans pour le conseillers municipaux, 65 pour les députés et 70 pour le président du Faso.
Bref sans être juriste, voilà quelques mesures fondées sur le simple bon sens pour inclure la jeunesse dans le jeu politique et démocratiser la participation à la gestion du pays.
Je suis d’accord en partie avec l’éminent homme politique et homme d’État qu’est Ablassé OUEDRAOGO. Je serai plus concret en traduisant ses idées en propositions concrètes.
1- Tous les leaders politiques qui se sont compromis dans la modification de l’article 37 (théorie et mise en œuvre)peuvent être suspendus. Ils sont faciles à identifier car ils ont écrits, participer à des émissions, à des caravanes et avaient donné leur accord pour le "oui" à l’assemblée. Que les technocrates cooptés dans le gouvernement pour lui donner un visage supportable soit épargné ; eux aussi sont connus.
2- Nul ne doit faire plus de deux mandats consécutifs pour les mandants électifs et plus de 08 ans pour les postes nominatifs.
3- L’on ne peut pas prétendre à un mandat électif après 60 ans pour le conseillers municipaux, 65 pour les députés et 70 pour le président du Faso.
Bref sans être juriste, voilà quelques mesures fondées sur le simple bon sens pour inclure la jeunesse dans le jeu politique et démocratiser la participation à la gestion du pays.