Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Violences faites aux femmes : le Burkina réaffirme sa détermination à vaincre le fléau
19 décembre 2014, 15:09, par
Nabiiga
Je suis pour que ce fléau s’arrête et immédiatement. Les hommes au Burkina sont très irresponsables (certains du moins). À la descent du travail, au lieu de rentrer aider les enfants avec leurs devoirs et rester avec leurs femmes, les voila en train de passer d’un bar à un autre, manger la viande, boire, et pourquoi pas, regarder les serveuses, pour ne pas dire les courrir. Ils arrivent à la maison complètement soul et devine qui doit ramasser les pots cassés : les femmes. Ils frappent les femmes pour la moindre de raison sans se référer à leurs comportements. Ils donnent presque rien aux femmes, elles se débrouillent avec le peu dont elles disposent, et pourtant, ,monsieur est dans les bars en train de dépenser ce qu’il est censé ne pas avoir et la femme ne peut se plaindre du manque de ceci et cela dans le foyer sans être frappé. Mon voisin ne cesse pas de frapper sa femme et je sais pertinemment bien ce qu’il fait en ville, ce n ’est pas juste envers nos femmes.
Levez-vous, femmes et mères du Burkina. Suivez, traquez vos maris dans bars ; refusez d’être battues, demander des comptes à vos maris, responsabiliser-les en demandant pur et simple qu’ils rentrent après le travail aider en quelque chose du foyer. Assez c’est assez ! Je suis un homme pourtant !!!
Je suis pour que ce fléau s’arrête et immédiatement. Les hommes au Burkina sont très irresponsables (certains du moins). À la descent du travail, au lieu de rentrer aider les enfants avec leurs devoirs et rester avec leurs femmes, les voila en train de passer d’un bar à un autre, manger la viande, boire, et pourquoi pas, regarder les serveuses, pour ne pas dire les courrir. Ils arrivent à la maison complètement soul et devine qui doit ramasser les pots cassés : les femmes. Ils frappent les femmes pour la moindre de raison sans se référer à leurs comportements. Ils donnent presque rien aux femmes, elles se débrouillent avec le peu dont elles disposent, et pourtant, ,monsieur est dans les bars en train de dépenser ce qu’il est censé ne pas avoir et la femme ne peut se plaindre du manque de ceci et cela dans le foyer sans être frappé. Mon voisin ne cesse pas de frapper sa femme et je sais pertinemment bien ce qu’il fait en ville, ce n ’est pas juste envers nos femmes.
Levez-vous, femmes et mères du Burkina. Suivez, traquez vos maris dans bars ; refusez d’être battues, demander des comptes à vos maris, responsabiliser-les en demandant pur et simple qu’ils rentrent après le travail aider en quelque chose du foyer. Assez c’est assez ! Je suis un homme pourtant !!!