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TRANSITION POLITIQUE : A l’épreuve de l’urgence Budgetaire

18 décembre 2014, 19:21, par Gagnant

Que DIEU TOUT PUISSANT bénisse le Burkina Faso et l’autorité des hommes qu’il a désignés pour ce pays.
Courage et félicitation à ces autorités pour les décisions que l’ETERNEL DIEU les accompagne à prendre pour la justice et le bonheur immédiat et durable pour ce peuple. Ils ne doivent rien se reprocher quand c’est ainsi. Certains ne comprennent pas et d’autres feignent et 90% de ces derniers sont ceux des tentacules du système Compaoré Blaise (ils sont même au sein des nouvelles instances de la transition et même à la tête et veulent retrouver leur argent et le pouvoir de dominer sur les autres ). Mais l’avenir nous le dira.
Les concitoyens et la communauté internationale attendent une expérience réussie de cette démarche dans laquelle le pays s’est engagé. Nous n’avons pas voulu un président selon les prévisions de l’ordre institutionnel au départ du Président Compaoré. Et la communauté internationale nous a aidées à asseoir cette forme de transition, qu’elle souhaite faire école pour toute l’Afrique et même dans le monde, en matière de bonne gouvernance. C’est une chance à ne pas rater.
Le Président Compaoré en tant que « patriote » (il doit cependant répondre de ses crimes de sang et économiques) ne devrait pas vouloir de ces faux partis politiques et Association qui lui ont conduit à ce chaos, puisqu’il ne pouvait pas facilement se débarrasser d’eux sans perdre sa vie.
Cette période donc de transition est une occasion, je dirai unique où l’expérience de mener sur la base du sang des martyrs burkinabe cette expérience, doit délivrer le burkina et bien d’autres pays de par le monde. A chaque moment de notre existence, le burkina a quelque chose de spécifique et de bien à apporter noblement au monde si, ceux qui sont à la tête sont courageux et humbles, il en est ainsi et il en sera ainsi. Et à chaque génération de jouer son rôle.
Les activités de tous les partis politiques du front républicain , Associations, mouvements , système, régime qui se sont associés pour œuvrer négativement ensemble dans la même vision et que cela a conduit à des crimes de sang, économiques, la peur, le traumatisme, des assassinats des citoyens burkinabé dont les dates du 30 et 31 octobre ont marqué le point culminant, doivent répondre et maintenant avant un autre ordre nouveau que prépare la transition. Et cela 80% des burkinabe et des amis du pays doivent s’intéresser.
Les autorités ne doivent pas se refondre des décisions déjà prises. Il faut poursuivre ce que la charte et la constitution et, le bon sens de la vie sociale au burkina nous imposent pour une cohésion de vie collective durable et profitable à tous. Ne soyons pas distrait par les groupe fosseurs de vie des jeunes et voleur des biens du pays, qui une fois les mains vidées au lieu de se taire et se cacher, sont cela mêmes qui crient victimes, Oh cela c’est de la tolérance et du pardon que DIEU a donné aux hommes et femmes du burkina Faso ! Que certains ne veille pas fouler au pied cette valeur. Pardon, quand on fait un coup d’état militaire, civil ou institutionnel et qu’on rate, dites-moi qu’est ce qui se passe ? Allez y demander à Monsieur Blaise Compaoré, à son groupe et à ceux du groupe et à la famille SANKARA Thomas ou tout simplement au peuple qui à suivi les évènements du 15 octobre 2007 ou au niveau international aux membres Al-Qaïda de Ben Aden après les évènements du 11 septembre, ou alors à coté, le Président Ouattara et son groupe et celui du Président Gbago en Cote d’Ivoire.
La commission vérité justice et réconciliation prévue par la charte et qui déjà créée par décret présidentiel, trouve ici un coup de pousse et matière immédiate ! ! !
Dans un premier temps, les partis et associations non encore suspendus doivent passer les premiers aux séances populaires de fora de vérité justice et réconciliation en vue de démontrer leur non implication et ou leur innocence dans ces drames de la séquestration des représentants du peuple (Députés) et dans leur complicité dans l’assassinat des citoyens burkinabe en expression de plein droit constitutionnel, face à un groupes ayant engagé un processus avéré et vérifié de coup d’état constitutionnel contre l’ordre de la foi fondamentale que bénéficiait chaque citoyen pour être en sécurité et travailler pour se nourrir, subvenir à ces besoins et contribuer au développement du pays.
Dans un deuxième temps les partis suspendus au bout du délai normal de la levée de la suspension (3 mois, les responsables et les animateurs de ces partis étant à ce moment réhabilités comme tels c-à dire meneurs de ces partis politiques) vont maintenant à leur tour passer à ces séances vérité, justice et réconciliation pour y répondre comme dans le premier cas, des mêmes préoccupations que le peuple souhaite comprendre d’eux.
La racine du mal doit être coupée et séchée rapidement pour assainir le contexte de la recherche de la justice et du bien-être du pays.
 S’il arrive que le parti politique qui s’est vraiment repenti, bien blanchi et s’est rendu acceptable par le peuple par rapport à ces faits d’association de criminels de sang et économiques et autres, lors de ses séances de vérité réconciliation, il reprend ses activités saines au bout de 08 mois et avec obligation pour lui(ce parti) de changer de sigle et de logos de son parti qui ont porté trouble à l’ordre publique ;

 s’il se trouve que le parti politique ou association est trop sale et s’est rendu inconciliable aux aspirations du peuple et du pays lors de ces séances, par rapport à ces crimes de sang et économiques, alors qu’il soit purement et tout simplement dissout, et ces partis doivent disparaître très rapidement dans le sens de préserver la mémoire des martyrs et de la collectivité et pour l’histoire de la génération présente et celle à venir. Les animateurs et responsables de ces partis et Associations cependant doivent être jugés devant les juridictions compétentes du pays selon la loi et les chefs d’inculpation (peut être relaxé ou gracié ou pénalisé de façon symbolique ou autre).

Le CDP, le Président Blaise Compaoré et sa famille seuls ne doivent pas répondre de cette situation, les partis politiques et mouvement alliés à cette situation du 30 et 31 octobre doivent répondre au même titre.


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