Manifestations à Zogona : Des jeunes réclament le départ d’Assimi Kouanda du quartier
16 décembre 2014, 17:31, par
Wuroyiretian
Voilà voilà, voilà des comportements indignes du Burkinabè. Il faut que l’Autorité en place n’hésite pas à corriger et à reprimer énergiquement ces genres de manifestants et de manifestations qui se multiplient et infestent notre vie voire notre bonne Réputation. Pour cestaines personnes "ça-profites" "mal élevées", qui n’ont plus rien à gagner ou à perdre, que tous les jours voient des soulèvements, ferait leur affaire. En d’autres termes ces funestes personnes se valorisent ou tire leur profit dans tout "front de refus", voire dans l’affrontement, le crime, la guerre. C’est malheureux ! En réalité elles sont pires que ceux ou celles qu’elles disent ne plus supporter. Il faut y voir clair et on démasquera leur réelle identité qui se cache derrière les manifestations : Des "ENVIEUX, PETITS JALOUX, MESQUINS" (cf Pr Bado in "Vive Djiro !...moi Laurent Bado je t’aime... tu vas nous faire changer de cap").
A bas les enfants pourris, "ça-protite", de Notre Révolution des 30 et 31 octobre.
Voilà voilà, voilà des comportements indignes du Burkinabè. Il faut que l’Autorité en place n’hésite pas à corriger et à reprimer énergiquement ces genres de manifestants et de manifestations qui se multiplient et infestent notre vie voire notre bonne Réputation. Pour cestaines personnes "ça-profites" "mal élevées", qui n’ont plus rien à gagner ou à perdre, que tous les jours voient des soulèvements, ferait leur affaire. En d’autres termes ces funestes personnes se valorisent ou tire leur profit dans tout "front de refus", voire dans l’affrontement, le crime, la guerre. C’est malheureux ! En réalité elles sont pires que ceux ou celles qu’elles disent ne plus supporter. Il faut y voir clair et on démasquera leur réelle identité qui se cache derrière les manifestations : Des "ENVIEUX, PETITS JALOUX, MESQUINS" (cf Pr Bado in "Vive Djiro !...moi Laurent Bado je t’aime... tu vas nous faire changer de cap").
A bas les enfants pourris, "ça-protite", de Notre Révolution des 30 et 31 octobre.