Demande de pardon de l’ADF-RDA : et si on faisait la politique autrement !
10 décembre 2014, 11:00, par
Invincible
C’est bien bizarre qu’on en soit toujours la a vouloir torcher le derrière des politiciens qui se sont érigés en brigands, cambrioleurs et autres coupeurs de route du peuple à un moment crucial de son histoire. Je ne veux pas m’ériger en juge pour qualifier les faits mais je crois que ce que L’ADF RDA a appeler erreur et que d’autres qualifient de faute lourde n’est rien d’autre qu’une haute trahison. On ne demande pas pardon pour une haute trahison mais on assume les conséquences surtout quand on a décidé librement de ventre sa voix à coup de millions pour ensuite pèter à la face du monde qu’on n’a de leçon à recevoir de personne.
Ce qui est bizarre, jusqu’à présent c’est que ni les autorités en places ni les politiciens qui sont de l’autre cote du mur ne semble avoir compris la leçon des 30 et 31 octobre. Pour la simple raison qu’aucune commission d’enquête indépendante n’ait été mis en place pour faire la lumière sur les circonstances de la modification de l’article 37, les jeux dans l’ombre, la corruption supposée ou avérée dans les couloirs du Parlement, les pactes et autres menaces de mort contre les députés et partant le peuple et la démocratie au Faso.
Avant les dates fatidiques du 30 et 31 octobre, des choses très graves se sont passées dans les méandres du pouvoir et il convient de faire toute la lumière la dessus et situer les responsabilités afin de mieux éclairer les lanternes du peuple.
Ce qui se dit ici et là dans la rue et dans les cabarets ne sont que des propose nuls et non avenus. L’intégrité se mérite le respect aussi. Mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’aucune vertu ne constitue une destination. Quand on y parvient, on est contraint de faire plus d’effort pour y rester sinon c’est la décadence. Or ici, on est parvenu à restaurer l’intégrité du peuple et son respect. Comment donc s’y maintenir ?
La réponse est simple :
1. Une enquête indépendante doit être ouverte et situer toutes les responsabilités dans cette tentative de modification de l’article 37. C’est un coup d’Etat constitutionnel qui doit être traite comme tel.
2. Publier le rapport afin de le rendre accessible à tous et par tous
3.Les acteurs politiques et les partis politiques accablés en tirent toutes les conséquences : Ceux qui doivent démissionner démissionnent et quitte la vie politique d’eux-mêmes (sans rancune). Les partis qui doivent s’auto dissoudre prendront à leur propre suicide collectif.
4. Le Ministère publique jugera de l’opportunité de les traduire en justice ou d’employer les recours légaux pour suspendre des personnes physiques, de dissoudre ou suspendre des partis politiques.
Le Peuple leur pardonnera certainement ensuite.
Les reformes de cette transition ne peuvent pas être qu’institutionnelles, elles doivent être aussi politique et prendre en compte les partis politiques pour lesquels on a besoin d’une meilleure règlementation à travers la mise en place de garde-bandits [Hermann Yameogo selon ses propres dires], de garde-brigands, des garde-coupeurs-de-route [ADF RDA, en décidant braquement de voter pour l’article 37 a barré la route au peuple] et de garde-pirates [Assimi, Achile Tapsoaba, Les feres Compaoré, Ram Ouédraogo et consorts qui n’avaient de projet de société que de piller le peuple]. Les garde-fous ne suffisent plus, les politiciens sont devenus autres choses.
L’ADF RDA demande pardon, pour erreur là où il y a haute trahison. Par ailleurs eux qui disaient qu’ils n’ont de leçons à reçevoir de personne réunissent des journalistes pour leur dire d’aller demander pardon. Au lieu de s’en tenir à ça ils vont jusqu’à oser parler de Présidentielle 2015. Un rêve interdit que tous les pros referendum devrait s’abstenir de caresser même en secret. De deux choses l’une soit ils n’ont pas encore compris qu’ils doivent quitter la scène politique soit ils attendent qu’on les aide à quitter.
Les demande de pardon en cascade qui tombent ici et là ne constituent en rien une approche durable de construction de démocratie fondée sur des partis politiques viables et fiables.
On ne doit plus continuer de fermer les yeux sur les agissements des partis politiques, car ils n’engagent pas que les partis mais aussi le pays et le peuple tout entier. Plus rien ne sera comme avant. Plus rien !
C’est bien bizarre qu’on en soit toujours la a vouloir torcher le derrière des politiciens qui se sont érigés en brigands, cambrioleurs et autres coupeurs de route du peuple à un moment crucial de son histoire. Je ne veux pas m’ériger en juge pour qualifier les faits mais je crois que ce que L’ADF RDA a appeler erreur et que d’autres qualifient de faute lourde n’est rien d’autre qu’une haute trahison. On ne demande pas pardon pour une haute trahison mais on assume les conséquences surtout quand on a décidé librement de ventre sa voix à coup de millions pour ensuite pèter à la face du monde qu’on n’a de leçon à recevoir de personne.
Ce qui est bizarre, jusqu’à présent c’est que ni les autorités en places ni les politiciens qui sont de l’autre cote du mur ne semble avoir compris la leçon des 30 et 31 octobre. Pour la simple raison qu’aucune commission d’enquête indépendante n’ait été mis en place pour faire la lumière sur les circonstances de la modification de l’article 37, les jeux dans l’ombre, la corruption supposée ou avérée dans les couloirs du Parlement, les pactes et autres menaces de mort contre les députés et partant le peuple et la démocratie au Faso.
Avant les dates fatidiques du 30 et 31 octobre, des choses très graves se sont passées dans les méandres du pouvoir et il convient de faire toute la lumière la dessus et situer les responsabilités afin de mieux éclairer les lanternes du peuple.
Ce qui se dit ici et là dans la rue et dans les cabarets ne sont que des propose nuls et non avenus. L’intégrité se mérite le respect aussi. Mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’aucune vertu ne constitue une destination. Quand on y parvient, on est contraint de faire plus d’effort pour y rester sinon c’est la décadence. Or ici, on est parvenu à restaurer l’intégrité du peuple et son respect. Comment donc s’y maintenir ?
La réponse est simple :
1. Une enquête indépendante doit être ouverte et situer toutes les responsabilités dans cette tentative de modification de l’article 37. C’est un coup d’Etat constitutionnel qui doit être traite comme tel.
2. Publier le rapport afin de le rendre accessible à tous et par tous
3.Les acteurs politiques et les partis politiques accablés en tirent toutes les conséquences : Ceux qui doivent démissionner démissionnent et quitte la vie politique d’eux-mêmes (sans rancune). Les partis qui doivent s’auto dissoudre prendront à leur propre suicide collectif.
4. Le Ministère publique jugera de l’opportunité de les traduire en justice ou d’employer les recours légaux pour suspendre des personnes physiques, de dissoudre ou suspendre des partis politiques.
Le Peuple leur pardonnera certainement ensuite.
Les reformes de cette transition ne peuvent pas être qu’institutionnelles, elles doivent être aussi politique et prendre en compte les partis politiques pour lesquels on a besoin d’une meilleure règlementation à travers la mise en place de garde-bandits [Hermann Yameogo selon ses propres dires], de garde-brigands, des garde-coupeurs-de-route [ADF RDA, en décidant braquement de voter pour l’article 37 a barré la route au peuple] et de garde-pirates [Assimi, Achile Tapsoaba, Les feres Compaoré, Ram Ouédraogo et consorts qui n’avaient de projet de société que de piller le peuple]. Les garde-fous ne suffisent plus, les politiciens sont devenus autres choses.
L’ADF RDA demande pardon, pour erreur là où il y a haute trahison. Par ailleurs eux qui disaient qu’ils n’ont de leçons à reçevoir de personne réunissent des journalistes pour leur dire d’aller demander pardon. Au lieu de s’en tenir à ça ils vont jusqu’à oser parler de Présidentielle 2015. Un rêve interdit que tous les pros referendum devrait s’abstenir de caresser même en secret. De deux choses l’une soit ils n’ont pas encore compris qu’ils doivent quitter la scène politique soit ils attendent qu’on les aide à quitter.
Les demande de pardon en cascade qui tombent ici et là ne constituent en rien une approche durable de construction de démocratie fondée sur des partis politiques viables et fiables.
On ne doit plus continuer de fermer les yeux sur les agissements des partis politiques, car ils n’engagent pas que les partis mais aussi le pays et le peuple tout entier. Plus rien ne sera comme avant. Plus rien !