Ministère de la Communication : Frédéric Nikiéma installé dans ses fonctions
26 novembre 2014, 12:00, par
Thomas
Je me dis que désormais, aucun fonctionnaire en général ou de la RTB en particulier, ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel.
Les publications sur ce sujet d’harcèlement moral n’ont cessés de croître, témoignant ainsi un mal-être généralisé au sein de la RTB où le lien de confiance entre l’agent et hiérarchie semble rompu.
Dans un groupe, il est normal que les conflits se manifestent. Une remarque blessante dans un moment d’énervement ou de mauvaise humeur n’est pas significative, à plus forte raison si elle est suivie d’excuses. C’est la répétition des vexations, des humiliations, sans aucun effort pour les nuancer, qui constitue le phénomène destructeur.
La perversité du harcèlement se définit notamment par son aspect sournois, silencieux et le plus fréquemment, évidemment, en l’absence de témoins.
Je me dis que désormais, aucun fonctionnaire en général ou de la RTB en particulier, ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel.
Les publications sur ce sujet d’harcèlement moral n’ont cessés de croître, témoignant ainsi un mal-être généralisé au sein de la RTB où le lien de confiance entre l’agent et hiérarchie semble rompu.
Dans un groupe, il est normal que les conflits se manifestent. Une remarque blessante dans un moment d’énervement ou de mauvaise humeur n’est pas significative, à plus forte raison si elle est suivie d’excuses. C’est la répétition des vexations, des humiliations, sans aucun effort pour les nuancer, qui constitue le phénomène destructeur.
La perversité du harcèlement se définit notamment par son aspect sournois, silencieux et le plus fréquemment, évidemment, en l’absence de témoins.
Bon vent à vous Monsieur le ministre !