Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Ablassé Ouedraogo, Président du parti « le Faso Autrement » : « Adama Sagnon rentrera dans l’histoire si de lui-même, il prenait l’initiative de libérer le gouvernement de la transition »
25 novembre 2014, 08:17, par
L’Entente
Soyons tolérants. C’est seulement pour douze mois et je pense que nous devrions jouer balle à terre. Je crois que le dossier Norbert ZONGO n’est pas encore prescrit ; il vaudrait mieux lutter pour sa réouverture au lieu d’indexer des magistrats et puis je voudrais rectifier que ce n’est pas le procureur du Faso qui prononce le non lieu mais le juge d’instruction qui décide après l’instruction s’il y a suffisamment de preuve pour envoyer l’affaire en jugement ou s’il faut prononcer le non lieu pour insuffisance de preuve. Si SAGNON était procureur, il ne peut avoir prononcé le non lieu au regard de la procédure pénale en vigueur au Burkina Faso. Allons-y, travaillons, Adma SAGNON lui-même se remettra en cause s’il estime qu’il a quelque chose à se reprocher. Et puis, pourquoi lui demander de démissionner sans l’avoir entendu préalablement sur ce dossier. Son explication pourrait nous permettre de mieux comprendre. En plus, ceux qui pensent que ZIDA a formé un gouvernement de copains semblent se tromper. Filiga n’est pas le copain de ZIDA, encore moins Lompo de l’agriculture ou Mme BILA du budget. On pourrait prolonger la liste mais s’ils vous plaît travaillons, avançons et prions pour le retour définitif de la paix et le succès de la transition. Ce sera notre contribution pour la réussite de la transition. Les mêmes politiciens avaient demandé le départ sans condition de ZIDA mais quand ils ont rencontré ZIDA, ils sont changé de langage pour jouer la carte de l’apaisement ; ce pourrait être de même avec SAGNON d’où la nécessité d’entendre sa version des faits sur l’affaire Norbert ZONGO. Que Dieu bénisse le Burkina Faso !
Soyons tolérants. C’est seulement pour douze mois et je pense que nous devrions jouer balle à terre. Je crois que le dossier Norbert ZONGO n’est pas encore prescrit ; il vaudrait mieux lutter pour sa réouverture au lieu d’indexer des magistrats et puis je voudrais rectifier que ce n’est pas le procureur du Faso qui prononce le non lieu mais le juge d’instruction qui décide après l’instruction s’il y a suffisamment de preuve pour envoyer l’affaire en jugement ou s’il faut prononcer le non lieu pour insuffisance de preuve. Si SAGNON était procureur, il ne peut avoir prononcé le non lieu au regard de la procédure pénale en vigueur au Burkina Faso. Allons-y, travaillons, Adma SAGNON lui-même se remettra en cause s’il estime qu’il a quelque chose à se reprocher. Et puis, pourquoi lui demander de démissionner sans l’avoir entendu préalablement sur ce dossier. Son explication pourrait nous permettre de mieux comprendre. En plus, ceux qui pensent que ZIDA a formé un gouvernement de copains semblent se tromper. Filiga n’est pas le copain de ZIDA, encore moins Lompo de l’agriculture ou Mme BILA du budget. On pourrait prolonger la liste mais s’ils vous plaît travaillons, avançons et prions pour le retour définitif de la paix et le succès de la transition. Ce sera notre contribution pour la réussite de la transition. Les mêmes politiciens avaient demandé le départ sans condition de ZIDA mais quand ils ont rencontré ZIDA, ils sont changé de langage pour jouer la carte de l’apaisement ; ce pourrait être de même avec SAGNON d’où la nécessité d’entendre sa version des faits sur l’affaire Norbert ZONGO. Que Dieu bénisse le Burkina Faso !