Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »
20 novembre 2014, 12:27, par
Burkinabè
Ça commence mal, on s’est débarrassé d’un certain président qui réservait ses communications importantes aux médias étrangers. Le premier interview devait quand même être donné sur un média burkinabè. Cela montre auprès de qui il croit rendre compte : la France et la communauté dite internationale.
Ça commence mal, on s’est débarrassé d’un certain président qui réservait ses communications importantes aux médias étrangers. Le premier interview devait quand même être donné sur un média burkinabè. Cela montre auprès de qui il croit rendre compte : la France et la communauté dite internationale.