Manifestations anti-referendum : « Certains enfants sont traumatisés », confie un responsable d’établissement
25 octobre 2014, 10:03, par
Un frère
"A Ouaga, les ¾ des établissements sont privés et si ça ne marche pas, c’est nous et nos familles qui allons souffrir », a-t-il analysé avant de demander à « chaque Burkinabé » de beaucoup penser à l’avenir du Burkina".
Nous savons tous qu’en cas de crises grave, même les banques seront fermées. Même le plus riche s’il n’a pas d’argent sur lui va souffrir à plus forte raison l’enseignant du public dont le salaire est viré.
Pire, il peut arriver que celui qui a de l’argent ne puisse rien faire parce que marchés et alimentations sont fermés.
"A Ouaga, les ¾ des établissements sont privés et si ça ne marche pas, c’est nous et nos familles qui allons souffrir », a-t-il analysé avant de demander à « chaque Burkinabé » de beaucoup penser à l’avenir du Burkina".
Nous savons tous qu’en cas de crises grave, même les banques seront fermées. Même le plus riche s’il n’a pas d’argent sur lui va souffrir à plus forte raison l’enseignant du public dont le salaire est viré.
Pire, il peut arriver que celui qui a de l’argent ne puisse rien faire parce que marchés et alimentations sont fermés.