Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Projet de loi sur le référendum : le vote de l’Assemblée nationale est prévu pour le 30 octobre
23 octobre 2014, 10:35, par
Gilbert Noel Ouedraogo
« Ne cédons pas à la provocation, l’ADF/RDA n’a pas de leçon politique à recevoir de personne ». Ainsi s’est fendu le député maire, président de l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA), et troisième vice-président de l’Assemblée nationale à l’occasion de la rencontre des sages de son parti.
les positions du parti sur le sénat, le référendum et la modification de l’article 37 sont claires. L’ADF/RDA se prépare à investir son candidat à la prochaine élection. Ce qui n’est pas contraire à sa ligne politique actuelle.
Au contraire, le parti s’investit énormément pour une sortie de crise pacifique. Contrairement à bien d’autres. Ce qui est une bonne posture pour un parti qui veut aller loin dans la recherche de la paix et du bien-être des populations. Car, finalement, tout le monde politique et même les Burkinabé d’une manière générale, recommandent le dialogue pour une sortie de crise. Le parti se positionne donc aujourd’hui comme celui qui a dénoué la crise.
Pour un tel objectif, Gilbert et ses camarades doivent justement rester sereins, ne pas céder à la provocation et surtout maintenir le cap. Tout comme eux, tous les patriotes, épris de paix et de justice sociale doivent prendre toutes leurs responsabilités. Le Burkina Faso est à un tournant historique de son itinéraire politique. Cette période ne doit pas être prise à la légère et traitée dans des salons de thé, ni dans la haine, ni dans l’intolérance, ni dans l’exclusion encore moins, dans la passion purement politicienne.
Les tous prochains jours nous situeront chacun, sur ses responsabilités et le rôle qu’il aura joué.
« Ne cédons pas à la provocation, l’ADF/RDA n’a pas de leçon politique à recevoir de personne ». Ainsi s’est fendu le député maire, président de l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA), et troisième vice-président de l’Assemblée nationale à l’occasion de la rencontre des sages de son parti.
les positions du parti sur le sénat, le référendum et la modification de l’article 37 sont claires. L’ADF/RDA se prépare à investir son candidat à la prochaine élection. Ce qui n’est pas contraire à sa ligne politique actuelle.
Au contraire, le parti s’investit énormément pour une sortie de crise pacifique. Contrairement à bien d’autres. Ce qui est une bonne posture pour un parti qui veut aller loin dans la recherche de la paix et du bien-être des populations. Car, finalement, tout le monde politique et même les Burkinabé d’une manière générale, recommandent le dialogue pour une sortie de crise. Le parti se positionne donc aujourd’hui comme celui qui a dénoué la crise.
Pour un tel objectif, Gilbert et ses camarades doivent justement rester sereins, ne pas céder à la provocation et surtout maintenir le cap. Tout comme eux, tous les patriotes, épris de paix et de justice sociale doivent prendre toutes leurs responsabilités. Le Burkina Faso est à un tournant historique de son itinéraire politique. Cette période ne doit pas être prise à la légère et traitée dans des salons de thé, ni dans la haine, ni dans l’intolérance, ni dans l’exclusion encore moins, dans la passion purement politicienne.
Les tous prochains jours nous situeront chacun, sur ses responsabilités et le rôle qu’il aura joué.