Dialogue politique inclusif : Le parti AJIR entend s’investir dans sa relance
16 octobre 2014, 23:23, par
Yeux ouvert
En vérité, en créant les conditions de la rupture du dialogue, en affirmant que le Président du Faso était juge et partie, l’Opposition a œuvré à se marginaliser et à s’exclure d’elle-même du processus de décision sur les questions querellées. Si fait qu’elle ne peut plus qu’assister en spectatrice et à subir les décisions qui seront prises. D’où ce retournement de veste en appelant le président de relancer un dialogue qu’elle a volontairement mis fin. L’opposition est en retard sur le train des événements, elle a manqué le wagon et elle veut se rattraper.j’espère que ce n’est pas trop tard sinon ce ne sera plus au président de décider mais au peuple.
En vérité, en créant les conditions de la rupture du dialogue, en affirmant que le Président du Faso était juge et partie, l’Opposition a œuvré à se marginaliser et à s’exclure d’elle-même du processus de décision sur les questions querellées. Si fait qu’elle ne peut plus qu’assister en spectatrice et à subir les décisions qui seront prises. D’où ce retournement de veste en appelant le président de relancer un dialogue qu’elle a volontairement mis fin. L’opposition est en retard sur le train des événements, elle a manqué le wagon et elle veut se rattraper.j’espère que ce n’est pas trop tard sinon ce ne sera plus au président de décider mais au peuple.