Pr Luc Marius Ibriga à propos du dialogue politique national : « Si on avait appliqué les résolutions des différents dialogues qu’il y avait eus, nous ne serions pas encore aujourd’hui en train de dialoguer »
7 octobre 2014, 08:33, par
Mawuéna
Si on couple présidentielle de 2015 et référendum, il n’ y a plus crise : c’est certes un jugement à la Salomon mais qui nous fait gagner sur tous les plans, surtout que nos ressources sont limitées. J’ai toujours pensé que la probabilité pour 5 burkinabè soient "frappés" par l’article 37 est si infime, que sa révision ne peut être une question d’intérêt national au point d’imposer un référendum. Bravo Pr ! pourquoi n’êtes vous pas conseillé à la présidence du Faso ?
Si on couple présidentielle de 2015 et référendum, il n’ y a plus crise : c’est certes un jugement à la Salomon mais qui nous fait gagner sur tous les plans, surtout que nos ressources sont limitées. J’ai toujours pensé que la probabilité pour 5 burkinabè soient "frappés" par l’article 37 est si infime, que sa révision ne peut être une question d’intérêt national au point d’imposer un référendum. Bravo Pr ! pourquoi n’êtes vous pas conseillé à la présidence du Faso ?