Salif Diallo lors de la rencontre avec les Burkinabè de France le 21 septembre à Paris : « Notre pays n’est pas un jardin privé »
26 septembre 2014, 17:48, par
kaboré ludovic de tanghin
Comme il l’a si bien dit , le Burkina n’est pas la propriété privée de qui que ce soit mais une propriété collective dont la direction est donnée par le peuple à une personne qui s’entoure de collaborateurs afin de veiller à la bonne marche de cette propriété collective .Aussi faut-il ajouté que dans phase que traverse notre patrie , il est impératif de demander l’avis du peuple d’où le référendum ! Allons au référendum car le peuple a son mot à dire .
Comme il l’a si bien dit , le Burkina n’est pas la propriété privée de qui que ce soit mais une propriété collective dont la direction est donnée par le peuple à une personne qui s’entoure de collaborateurs afin de veiller à la bonne marche de cette propriété collective .Aussi faut-il ajouté que dans phase que traverse notre patrie , il est impératif de demander l’avis du peuple d’où le référendum ! Allons au référendum car le peuple a son mot à dire .